Le libre échange et le protectionnisme
Synthèse du premier exposé : Le libre échange et le protectionnisme.
Introduction :
Le premier exposé nous parle du débat entre la politique de libre-échange et celle du protectionnisme. Ce débat n'es pas nouveau et remonte au commencement du commerce international. Malgré cette ancienneté le débat reste animé pour cause des avis tranchés et peu souvent raisonnés dus aux idées préconçues, aux approximations et aux exagérations dont il fait l'objet.
Le but de ce chapitre n'est donc pas de trancher en faveur de l'une ou de l'autre politiques mais d'éclaircir le débat grâce à dix arguments en faveur de chacune d'entre elles.
Les arguments en faveur du libre-échange :
Cette politique de libre-échange se base principalement sur les deux auteurs classiques : Adam Smith et David Ricardo.
a) Il augmente l'efficacité de la production :
Selon la théorie des coûts comparatifs de Ricardo, les pays se spécialisent dans la production où les coûts de production sont les plus bas et délaissent les productions trop coûteuses ce qui permet à la production sélectionnée de réaliser des grains de production et de productivité.
Pour illustrer ces faits, nous prenons l'exemple de la fabrication de blé et de montres aux États-Unis et en France qui montre que avec un même temps de travail et des coûts équivalents un pays produit et donc vend plus d'une certaine marchandise alors que l'autre fera des profits sur une autre marchandise. Cela rend les économies complémentaires et cela favorise les échanges.
b) Le libre échange permet d’améliorer le bien-être :
La croissance et les gains de production permettent un surplus de richesses potentiellement re-distribuables ce qui permet dans le cas où les pays s'y engagent d'améliorer le bien-être dans leurs pays et donc à la fin au niveau mondial également.
Selon Smith, une augmentation du bien-être permet une hausse de la demande qui pousse a une augmentation de la production mondiale par une amélioration de la