le partage
Si les mentalités ont du mal à évoluer, les faits nous y invitent !
Quel avantage en effet, à considérer les dirigeants d’entreprises et les salariés comme des adversaires irréconciliables, dont les intérêts seraient incompatibles ?
« Ramer » chacun pour soi, annule le profit des efforts fournis par chacun au bénéfice d’une stagnation stérile et fort dangereuse en cette période de crise économique prolongée.
Les entreprises gagneraient en efficacité et en performance et les salariés en bien être, si chacun prenait conscience de l’intérêt d’une réelle coopération dans la confiance, la considération et le respect mutuels.
Trop souvent encore, la dimension humaine n’est pas prise en compte dans les stratégies de développement des entreprises et dans les organisations du travail qui en découlent, alors que les « ressources » humaines sont aujourd’hui l’ultime levier qui peut déterminer la réussite ou l’échec d’un projet.
Cette dimension humaine commence avec des éléments simples mais incontournables tels que la reconnaissance du travail fourni et de l’implication des salariés, la prise en compte des contraintes du terrain lors de la définition des objectifs, la prise en considération des besoins d’évolution professionnelle…
Lorsque la plupart des managers intégrera systématiquement ces concepts dans son organisation, il sera plus facile pour les salariés de prendre eux aussi conscience que l’entreprise et ses dirigeants sont, sinon des amis, au moins les alliés objectifs de leur bien-être économique et de leur épanouissement professionnel.
Les crises sont génératrices de progrès décisifs, donc, chefs d’entreprises, cadres, salariés, sachons nous remettre en question, et engageons notre volonté de bien faire et de coopérer au service de