Lingerie pour hommes
I) Étude qualitative (étude documentaire et technique projective)
Les informations que nous avons recueillies sont issues de recherche sur internet, d’un entretien téléphonique avec «expert » et d’un entretien de groupe.
Attractivité du marché :
La France est le premier marché du sous-vêtement en Europe, devant l'Italie ou l'Allemagne.
D'une manière générale, la lingerie pour homme représente environ 10 % du marché de la lingerie homme-femme confondu évalué en 2007 à 2,6 milliards d'euros en dépenses des ménages soit 260 millions d'euros pour les hommes en 2007.
Le type de lingerie dominant est le Boxer, pour environ 70% des hommes.
Début 2011, les sous-vêtements hommes ont enregistré + 1,6 % sur mars et +3,5 % en cumul sur le trimestre. C'est un marché en bonne santé depuis 2010 qui marque la fin du creux enregistré les deux années précédentes.
Marché Concurrentiel :
Le marché de la lingerie masculine est dominé par DIM (environ 20% en 2008), talonné par son challenger Athéna (environ 17% en 2008). Il existe cependant de nombreuses autres marques telles que HOM, Calvin Klein, les marques de distributeurs, qui se partagent le reste des parts de marché.
➢ Les cinq forces de Porter :
- Concurrents directs : Nous pouvons presque parler d’un marché oligopolistique puisqu’en effet, le leader et son challenger représentent à eux seuls près de 40 % du marché des sous vêtements homme. Les 60 autres pourcent du marché étant néanmoins plutôt atomisé.
- Pouvoir de négociation des fournisseurs : Leurs pouvoirs est moindre, puisqu’en effet, les fournisseurs de matière première sont nombreux sur le marché.
- Pouvoir de négociation des clients : Aucun
- Menace de substitution : Aucune
- Menace des nouveaux entrants : Il n’y a peu ou pas de barrière à l’entrée si ce n’est l’imperfection du marché ; c'est-à-dire : l’extrême dominance du marché par DIM et ATHENA (économie d’échelle qui en résulte)
Les réseaux