Clélia

Le héros du XIX siècle pouvait être médiocre mais aussi romantique. Le passage du chapitre XV, pages 351-357, de La Chartreuse de Parme de Stendhal, décrit la deuxième rencontre entre Fabrice del Dongo et Clélia Conti, la fille du gouverneur Fabio Conti. Stendhal utilise cette deuxième rencontre entre Fabrice et Clélia pour insinuer la possibilité d’un rapport amoureux entre eux. Donc, à ce point dans le roman, le lecteur commencera à voir plus de la côté romantique du héros médiocre- Fabrice. Cet exposé va couvrir comment le rencontre actuel, les sentiments exprimés par ces deux personnages, aussi bien que, la comparaison qui est faite entre Clélia et la duchesse Sanseverina, mettent en scène la possibilité d’un avenir amoureux pour le héros, Fabrice, et son intérêt d’amour, Clélia.
Deuxième première vue Les instants de bonheur passent rapidement pour Fabrice et Clélia pendant leur rencontre. Ils sont remplacés promptement par des sentiments de désespoir et mélancolie. A ce moment où Fabrice et Clélia se voient pour la deuxième fois, Fabrice port les menottes. Les gendarmes l’entourent sur son chemin à la tour Farnèse, où il va emprisonner. La scène au dehors de la prison Farnèse renforce l’air mélancolique des personnages. Fabrice est frappé par « l’expression de mélancolie » (351) de la figure de Clélia. Le lecteur peut déduire de sa figure que Fabrice ne sortira pas de la prison pour plusieurs années (pour « vingt ans de forteresse », selon le chapitre précédent- p.339). Cependant, il y a un espoir au milieu de cette scène déprimante. Le contraste entre « les apparences grossières des gendarme qui l’entouraient » (351) et la mine « la plus fière et la plus noble » (351) de Fabrice apporte un peu d’ironie au scène. Les traits «fins et délicats » de Fabrice avec son sourire « de mépris » entre le cercle des gendarmes créent l’effet d’un héros brillant entre une masse des personnes sombres. C’est si Fabrice sait quelque chose de son futur que