Au cours des ans on aurait pu croire que l'esprit sportif se serait raffiné. Mais, de toute évidence, on constate aujourd'hui qu'il n'en est rien. À titre d'exemple, le hockey. Les amateurs de hockey apprécient davantage le jeu quand il se passe quelque chose. Ce « quelque chose », c'est une bonne bagarre ! Cet instinct du plus fort remonte à l'origine des temps. Cela ne s'applique pas qu'au hockey, mais dans tous les domaines de la vie. Si l’on est à court d'arguments pour se défendre, on montre les poings ; c'est la loi du plus fort, mais c'est digne de l'homme des cavernes !

Après plusieurs recherches, nous avons établi trois types de sports : les sports avec violence prémédité, avec violence non prémédité et les sports sans violence.
Mais celui qui nous intéresse le plus est le sport avec violence non prémédité.
On retrouve cette violence dans les sports comme le football, le basket ball, le soccer et sans oublier le hockey. Ces pourquoi le Ministère des Loisirs et du Sport ce doit de mettre en place des politiques et lois qui ont comme but d’intervenir sur la problématique de la violence non prémédité dans les sports. Une de ces politiques vise à la mise en place de moyens de sensibilisation qui pourront atteindre les joueurs, les parents, les entraîneurs et les partisans. Ces moyens de sensibilisation se divisent en trois méthodes d’interventions:
Promotion d'un code d'éthique destiné aux parents;
Diffusion et affichage de messages de sensibilisation dans les arénas québécois;
Distribution de 115 000 DVD d'une conférence aux 350 organisations de hockey mineur du Québec.
Ces mesures seront certainement aidante à celles déjà misent en places.
La violence est tellement présente et radicale que certains gestes créent des dilemmes éthiques dans plus qu’une organisations. Effectivement, il arrive que les comités de disciplines ne peuvent intervenir adéquatement du à la gravité du comportement. En effet, certaines situations doivent être traités par la