Pascal Justice
On peut se demander de quelle nature est la relation qui les lie ? Comment sont-elles respecter ?
Dans un premier temps, Pascal soulève les différences que présentent ces deux concepts.
Dans un seconde temps, il montre que la force et la justice sont complémentaires et qu’elles sont nécessaire l’une à l’autre.
Dans un dernier temps, nous verrons la victoire qu’a la force sur la justice.
Dans un premier temps Pascal oppose distinctement les deux concepts étudiés. En effet les deux notions semblent clairement distinctes. En effet le titre : « Justice, Force » qui juxtapose les deux mots sans coordination montre que c’est une opposition.
La justice renvois a ce qui est conforme au droit ou équitable. C’est l’institution du bien sur terre. Elle peut être un idéal à atteindre, mai aussi une réalité politique établie par les hommes qui la souhaitent et qui l’instaure. Chez Platon et Aristote, la justice est la vertu essentielle qui permet l’harmonie de l’homme avec lui-même et ses concitoyens. Chez les modernes, la vertu se définit comme ce qui instaure l’égalité et la liberté parmi les hommes.
Au contraire la force quant à elle désigne la puissance matérielle, d’action, ainsi que la contrainte morale et la violence. Elle peut être vu comme une force de violence, de se fait inégalitaire et injuste s’opposant de ce fait avec la justice.
De plus dans la première phrase de son texte souligne cette opposition. Il défini le juste comme ce qui est « juste a suivre », ce qui signifie qu’il n’y a pas d’obligation a appliquer la justice mais que cela relève plus d’un choix que l’individu réalise ou non. En effet la justice en elle-même ne possède pas de