r l'art et la peinture
Michel Henry a été un grand admirateur et connaisseur de l'art ancien, du grand classique de la peinture qui précède le scientisme figuration dérivée du XVIIIe et XIXe siècles, et dans le même temps des créations abstraites résultant d'une quête spirituelle authentique, comme celles du fondateur de l'art abstrait, le peintreWassily Kandinsky . Michel Henry qui lui est consacré un livre intitulé Voir l'invisible, où il décrit son travail. Il analyse dans ce livre les écrits théoriques de Kandinsky sur l'art et la peinture dans leur dimension spirituelle et culturelle comme une façon de se croissante et le raffinage de sa sensibilité . Il explore les moyens de la peinture et leurs effets sur la vie intérieure de celui qui les regarde émerveillé, suite à l'analyse rigoureuse et presque phénoménologique proposée par Kandinsky. Il explique que toutes les formes de la peinture sont capables de réveiller en nous une réalité abstraite, c'est-à-dire qu'elle ne se contente pas de reproduire le monde, mais cherche à exprimer la puissance invisible et la vie invisible qui existe. Il évoque aussi la grande pensée de Kandinsky, de la synthèse des arts, de leur unité dans l'art monumental, ainsi que la dimension cosmique de l'art.
[ modifier ]Le christianisme
Vie elle-même aime d'un amour infini et ne s'arrête jamais de se produire, il ne s'arrête jamais de produire chacun de nous comme son fils ou sa fille bien-aimée dans l'éternel présent de la vie. La vie n'est rien, mais cet absolu d'amour que la religion appelle Dieu . C'est pourquoi la vie est sacrée et c'est pour cette raison que personne n'a le droit de l'attaquer ou de le blesser. Le problème de la mauvaise , c'est que la mort, c'est-à-dire de la dégénérescence de cette condition originale du Fils de Dieu, quand la vie se retourne contre lui-même dans la haine et le ressentiment. Parce que comme le dit Jean dans sa première épître, toute personne qui n'aime pas demeure dans la mort, alors que