Philosophie
Dans ce texte, l’essence du christianisme, l’auteur parle de la conscience et de son rôle dans la capacité de science. En effet L.Feuerbach évoque ce thème au travers d’une thèse qu’il argumente tout au long d’un texte. Ainsi, l’auteur nous fait partager son regard sur tout ceci au travers de son idée directrice : l’homme à une conscience unique à l’origine de sa capacité de science.
A cette argumentation l’auteur se pose une question philosophique majeure : Qu’est ce que l’homme ? Cependant, au travers cette question c’est aussi se poser beaucoup d’autre interrogations qui découlent de celle-ci, notamment ; qu’est ce que la science ? Qu’est-ce que la conscience ? Parallèlement, ce texte évoque d’autres enjeux eux aussi très important ; la conscience existe-elle sous différents degrés ? N’est-il pas possible de faire évoluer sa conscience, les animaux ne peuvent-ils pas acquérir la capacité de science ? La capacité de conscience n’est donc qu’un caractère dans l’espèce ?
Dans le but d’analyser le texte, celui-ci fut préalablement divisé en trois parties succinctes. Ainsi de la l.1 à l.7 « Quelle est donc la différence essentielle… sa propre essence. » Dans cette partie l’auteur va évoquer la différence majeure entre l’homme est l’animal. La seconde partie va être plutôt consacrée à argumenter et à appliquer ce qu’a établit l’auteur dans la partie précédente. Cette partie commence l.7 « l’animal est sans doute » et se termine l.11 «conscience des espèces». Enfin, dans la troisième et dernière partie l’auteur expose sa thèse dont la véracité était argumentée dans ce qui précédait l.11 « conscience des espèces » à l.14 « autres que lui ». Ce passage il va essayer de montrer le lien en conscience, science et la religion.
L’homme est un être qui évolue, change, bâti et croit (en dieu…). Or nous savons pourquoi il évolue, pour survivre, pourquoi il change, pour s’adapter, pourquoi il bâti, pour survivre selon Aristote. Or dans