1. Courants littéraires :
a. L’humanisme
i. Il y a un retour vers les sources antiques pures. C’est-à-dire qu’ils reprennent les textes en latin ou en grec. ii. On accorde plus de confiance à l’homme. Il devient la mesure de tout. iii. Il a y un soucis de l’enseignement. Le but est de former des hommes parfaits sur le plan intellectuel. iv. Il y a un renouvellement des genres littéraires. Par exemple, on adopte le sonnet ou l’ode.
v. On fait une promotion des langues nationales. Par exemple, les premières grammaires italiennes ou françaises sont éditées.
b. le classicisme
i. On imite les anciens. Ils leur empruntent une théorie de la littérature, des modèles de genre littéraire, des sujets mythologiques. ii. On trouve une utilité morale à l’art. instruire pour plaire pourrait être leur devise. iii. Le goût pour l’analyse morale est fort prononcé. iv. Il y a une conception universaliste de l’homme. Il n’est plus pris comme un individu mais plutôt compris dans un grand type.
v. Il y a une conception fixiste du beau. Le beau est régi par diverses règles.
c. le siècle des lumières
i. Une interrogation sociopolitique apparaît. Elle est basée sur les fondements du droit, de la liberté individuelle,… ii. C’est une pensée essentiellement laïque voir anticléricale. iii. Il y a une confiance dans l’esprit humain. Cette confiance se double de la recherche d’une éducation apte à contribuer au progrès et au bonheur de l’homme. iv. Ils rêvent aussi de faire un retour à la nature. L’homme est corrompu par la société et la nature elle est beauté, plaisir et émotion.
v. Ils développent un art de l’ironie. C’est un emblème de la liberté.
d. Le romantisme
i. Il y a une exaltation du moi. Elle traduit l’affirmation de la subjectivité. ii. Les effusions lyriques sont forts présentes du fait d’une sensibilité exacerbée. iii. Un nouveau sentiment de la nature apparaît. Elle devient comme un rêve. iv. Les personnages