préface d'Aurelia
Gérard de Nerval à écrit Aurélia intitulé aussi le rêve et la vie. La première partie de son livre est paru en janvier 1855 dans la revue de Paris. Et la seconde partie le 15 février 1855. Gérard de Nerval naît sous le nom de Labrunie. Il doit grandir en l'absence d'une mère, morte peu de temps après sa naissance. C'est dans le Valois, lieu qui inspirera particulièrement ses œuvres, qu'il passe son enfance. Après ses études parisiennes, il s'adonne à l'écriture et, attiré par l'Allemagne, réalise une traduction réussie du Faust de Goethe. Durant sa jeunesse, de Nerval s'inspire des grands romantiques qu'il côtoie (Hugo, Nodier) et se lie d'amitié avec Théophile Gautier. Il participe même à la célèbre bataille d'Hernani. Dès 1836, il s'éprend passionnément de Jenny Colon, qui mourra en 1842 et Nerval en fera alors l'une de ses égéries. Mais l'esprit de l'écrivain commence à défaillir. Dès 1841, il est sujet à des hallucinations et à des crises de folie dont il s'inspire dans ses écrits. Paraissent ainsi Voyage en Orient (1851), puis les Filles du feu en 1854. De Nerval est retrouvé pendu en 1855. Après sa mort, une dernière œuvre paraît : Aurélia, qui marque sa volonté de fuir le réel par le rêve. C’est un roman inachevé. Le titre de ce roman peut évoquer une femme puisque Aurélia est un nom féminin on peut s’attendre à ce qu’il nous parle d’elle dans ce livre. Il y a une illustration de couverture qui est une tapisserie dessiné par Gustave Moreau et exécutée par la manufacture des Gobelins. Cette tapisserie ce nomme « le poète et la sirène ». Sur cette illustration nous pouvons voir au centre de cette tapisserie une femme nue debout et une femme assise nous pouvons imaginer que la femme au centre de cette tapisserie représente Aurélia. A l’arrière-plan nous pouvons remarquer que ces deux femmes se situe dans la nature c’est-à-dire qu’il y a la présence de fleur et de plantes et aussi de l’eau. Ce roman autobiographique retrace la vie de l'auteur,