Quand l’impression écologique est vraiment durable?
L’écologie a désormais investi tous les domaines du quotidien : déplacements, appareils électriques et électroniques, vêtements… L’imprimerie fait bien évidemment partie de ce mouvement de fond. Mais il est important de bien savoir à partir quels sont les critères à respecter pour affirmer que l’on recourt à une impression écologique et durable. (Source: http://www.overnightprints.fr/protection-environnement)
L’utilisation d’un papier recyclé
Lorsqu’il est nécessaire d’imprimer des documents, il convient de recourir à un papier recyclé, afin de diminuer l’empreinte écologique de ce geste quotidien. Un papier est qualifié de recyclé lorsqu’au moins la moitié des fibres de cellulose utilisées pour sa fabrication est issue de la récupération de vieux papiers et cartons. Pour garantir un meilleur respect de l’environnement, il faut s’assurer que le papier recyclé a été blanchi sans chlore, de manière conforme aux normes ECF (Elementary Chlorine Free) et TCF (Totally Chlorine Free).
Certaines pâtes à papier sont fabriquées sans qu’aucun arbre ne soit coupé. Il s’agit par exemple du papier Bagasse, à base de résidus de canne à sucre ou encore du papier Shiro Alga Carta, fabriqué à partir d’algues.
L’utilisation d’encres non toxiques
Une impression écologique durable suppose l’élimination de toute encre toxique. Celles-ci peuvent être remplacées notamment par des encres végétales. En effet, ces encres ont un niveau de biodégradabilité plus élevé que celui des encres d’origines minérales ; elles offrent des taux d’émission de COV (composés organiques volatiles) réduits. Lin, tournesol, colza ou encore soja remplacent le pétrole. D’autre part, opter pour des encres d’une intensité élevée permet également une consommation réduite.
L’impression climatiquement neutre
Imprimer de manière climatiquement neutre est une assurance de durabilité. Cet engagement consiste à calculer les émissions de CO2 dégagées par les