Compte rendu story telling 24/10/08

Nous sommes confrontés aux mutations il y a un transfert entre les producteurs de contenus et les marques.
Nous voyons une multiplication des canaux ainsi que des moyens de diffusions.
Les marques cherchent donc de nouveaux moyens d’expressions dans une logique de continuité. Les marques doivent raconter des histoires où les individus se retrouvent, sur le long terme.
Les cartes de la création de contenu sont redistribuées par cette explosion des contenus et la multiplication des canaux. C’est de plus en plus difficile pour une marque d’être à la base de ce contenu.
La marque a du mal à créer de la cohérence dans son discourt, elle a la volonté de créer et d’avoir un contenu uniforme sur tous les contenants.

Le storytelling est un sujet vieux comme le monde, nous avons toujours raconté des histoires et les marque le font depuis longtemps.
Mais nous arrivons à un moment charnière car nous les supports ont été modifiés et se sont multipliés. Nous pouvons désormais raconter plus d’histoire et les raconter différemment. Les histoires peuvent être écouté en décalé ou nous pouvons écouter que certaines parties d’une histoire, celle qui nous intéresse à un moment donné. Exemple du DVD qui a permit la notion de chapitrage et de choix. Ceci avec la multiplication des supports entraîne une nouvelle complexité pour le conteur. Maintenant les individus sont libres, ils peuvent juste s’intéresser à un morceau de l’histoire. Mon histoire peut-elle alors être intéressante si la personne n’en prend qu’une partie, ne suit pas tout ?
Exemple de l’analogie Matrix qui à coté du film, qui est l’histoire principal, a développé des jeux vidéo, des BD… pour compléter l’histoire. Les auteurs ont enrichi l’histoire.
Dans un même temps, chacun de ces contenants fonctionne de façon indépendante et les personnes ne connaissant pas une partie des cette grande histoire ne se sent pas perdu, connaît une histoire.

Pourquoi le storytelling n’est