Synthese
1. Faite une phrase avec le chiffre entouré. (document 2) En 2003, selon l’INSEE, 22 % fils d’artisan, commerçants, chef d’entreprises, sont devenus cadres ou exercent une profession intellectuelle supérieure. Il y a donc une ascension sociale.
2. A quoi peut-on attribuer la forte mobilité sociale des agriculteurs ? (document 1) On peut attribuer la forte mobilité sociale des agriculteurs, par le fait tout d’abord d’un phénomène de mobilité structurelle. En effet les agriculteurs-exploitants ont été victime du progrès technique (outillage, engrais, pesticides, OGM…). De plus, avec la grande distribution, les produits alimentaires sont moins chers, ce qui fait que les agriculteurs ne font pas beaucoup de bénéfices. Enfin dernière raison : à la mort du père, il n’y a qu’un fils qui reprend l’exploitation.
3. Etudiez l’évolution de la mobilité sociale masculine entre 1977 et 2003 (document 2) Ce document différencie deux mobilités. Tout d’abord la mobilité nette (ou de circulation), qui résulte de la volonté d’un individu de changer de position sociale, puis la mobilité structurelle, qui n’est pas due de la volonté des personnes mais par le fait du progrès technique (agriculteurs), de la croissance économique, de la modification des structures… Globalement, la mobilité sociale des hommes a augmenté entre 1973 et 2005. En 1997, 57 % des hommes ont une position sociale différente de celle de leur père et en 2003, elle est de 65 %, il y a donc une augmentation de 8 points de pourcentage. Il y a donc une mobilité intergénérationnelle. Et plus précisément on remarque que la mobilité nette augmente petit à petit (+ 5 point de pourcentage entre 1977 et 2003). Au contraire la mobilité structurelle, elle stagne.
4. Donner un exemple de « déclassement social » (document 3) D’après ce document, le déclassement social se fait à l’école. En effet même si tous les enfants vont à l’école, celui issu de la classe moyenne et d’une classe aisée n’auront