L’inconscience
L’œuvre de Paul Éluard «Le miroir d’un moment», tirant du recueille Poètes Surréalistes, démontre beaucoup l’inconscient. Non seulement pour ses vers spirituels, mais aussi pour les allusions que l’auteur donne à son texte. Pour débuter, Paul Eluard, tout au long de son poème, décrit ce que l’homme voit dans un miroir, son portrait. Cependant, il parle en fait de ce que le miroir ne distingue pas, tel que le caractère et la personnalité de cet inconnu. Tel écrit à son huitième et neuvième vers, «Et son éclat est tel que toute les armures, tous les masques en sont faussés. » Cette métaphore permet aux lecteurs de comprendre que lorsqu’un individu se regarde dans cette surface glacé il peut y voir une magnifique personne, mais intérieurement, cet individu se retrouve à être mauvais. Cette facette de l’esprit est en fait une sorte de masque que l’homme projette, mais cependant, celui-ci est faussé par son attitude non voyante. Donc, il s’agirait d’une forme d’inconscience. Pour poursuivre, Paul Eluard lors de ses derniers vers compare l’esprit à un oiseau dans le vent, le ciel désignant la vérité et l’homme avec sa propre vérité : «L’oiseau s’est confondu avec le vent, Le ciel avec sa vérité, L’homme avec sa réalité». Dans ces quelques vers, l’auteur essai en fait de faire comprendre au lecteur, par une pensée surréaliste, que l’esprit, ce que l’on appelle l’inconscience, se promène tel un oiseau dans le vent, que le ciel reflèterait sa vérité, car celui-ci se promènerait dans l’air et pour finir, l’homme aurait trouvé sa réalité, car en fait sa conscience, sa façon de penser et d’agir est loin de refléter son physique.

Le rêve
La thématique du rêve est beaucoup utilisée dans l’œuvre d’Antonin Artaud, auteur du poème «Rêve». D’ailleurs, cette thématique il est facilement reconnaissable par l’imaginaire auquel l’auteur fait référence, en plus de ses multiples endroits consécutifs où il fait allusion tout au long de son poème. Antonin Artaud, dans