L'existentialisme de sartre
Tout d'abord, la subjectivité touche tout ce qui se rapporte, ce qui est relatif au sujet pensant. Tout homme possède ce que l'on appelle une opinion subjective, l'homme fait ce qu'il veut, il est libre, maître de lui, de ses goûts, ses envies, ses désirs … Personne ne l'oblige à faire ce qu'il veut, l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. L'homme développe sa propre affectivité des choses. Donc, l'homme ne peut rien faire pour se décharger de la responsabilité de ses actes ; il ne peut avoir aucune excuse de ce qu'il fait. Cela, car comme le dit Sartre, l'homme se définit petit à petit avec ce qu'il fait. Ce n'est pas dès qu'il existe qu'il est définit. Au contraire, il se définit lui-même selon les situations. En fait, ce que l'on pense des choses et ce que l'on croit se font selon ce que l'on est, selon notre filtre personnel, il n'existe aucun hasard, aucune chose n'est faite « sur un coup de tête. » Toute chose a une raison d'être. On comprend donc que l'homme se construit lui-même au fil de sa vie, il est un peu comme le bâtisseur de sa propre vie qui est elle-même une construction infinie. Aussi, comme l'a dit Sartre, recourir au déterminisme pour donner des raisons de cette action, c'est par conséquent sombrer