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La liberté d'expression c'est une chose qui a beaucoup d'importance sur l'histoire des écrivains, on a lutté pour l'obtenir dans sa totalité. Aujourd'hui, l'écrivain est totalement libre d'écrire poésie, romans, essaies... chaque modalité sert à quelque chose en particulier. Les personnes qui cherchent de la compréhension lisent des poésies. Les personnes qui cherchent à s'entretenir lisent des romans ou des poésies aussi. Les personnes qui cherchent d'information ou des opinions différents sur un sujet concret lisent des essaies.
On cherche toujours à exprimer ce qu'on sent. Ce que nous fait sentir peut être la nature, le temps, et surtout les autres. La société nous entoure, on a toujours une rélation avec des autres hommes. On a besoin de quelqu'un (soit une mère, un ami, un copain). C'est pour cela que l'écrivain doit avoir l'intention de écrire sur son temps. Son livre serait une photographie du monde actuel.
Néanmois, il est toujours un artiste des mots. À la poésie, il ecrit des beaux verses, au roman, il décrit des paysages ou l'âme d'une personne, dans l'essai, il présente une idée, et il montre comment il voit le monde. Il doit avoir cette liberté, on ne doit pas empêcher cette liberté, c'est lui qui pose les règles du jeu.
Georges Perec c'est l'écrivain qui a réussi à accomplir son rôle comme critique de la société à la fois que artiste des mots. Dans son livre «Les choses» il critique la société de consommation de son temps.
Parallèlement, il joue avec les mots dans son livre «La disparition» où il utilise seulement des mots sans 'e', la voyelle la plus utilisée dans le langage française. Puis, il exprime un sentiment d'un homme existentialiste dans son roman «Un homme qui dort» qui