De rerum natura

par

Livre VI

Pour finir, Lucrèce élargit sa réflexion au maximum et se penche sur l’infiniment grand. Il émet ainsi des hypothèses pour expliquer les météores, les orages, la foudre, la pluie, les nuages, les séismes, les variations de niveau des eaux de la mer, les volcans, les crues et les décrues, etc. Ses théories, fidèles à sa démarche, sont rationnelles et ne justifient jamais les aléas naturels par des caprices divins.

         Il clôt l’œuvre par un retour à l’homme et démontre que tout ce mouvement naturel immense a un lien direct avec les humains et leur santé. On retrouve encore, à ce niveau, une parenté avec la théorie des humeurs qui part du principe que l’homme est sous l’influence des planètes.

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