Abstraction

du Je pense, le moi connaissant - moi empirique, moi connu : - corps, actions, etc. (visible par tout le monde) - sentiments, volonté, émotions (visibles de moi seul) - personnalité, caractère, tendances, etc. (obtenus par abstraction) Connaissance - connaissance théorique, abstraite, formelle, objective (ex : connaître la loi de Newton, connaître les dates de naissance et de décès des grands philosophes, connaître un livre, etc.) - connaissance subjective, pratique, concrète

douteux. Etre incertain consiste sans doute à être travaillé par le doute. L’esprit philosophique est donc le contraire d’un esprit dogmatique. Il s’étonne, interroge et cherche une vérité capable de résister aux objections des sceptiques. Il fait abstraction des interactions et des stimuli extérieure pour ne se consacrer qu'à l'étude de ce qui l'entoure. Bertrand Russell montre que cette attitude est à l’opposé de l’attitude spontanée, des automatismes humains. Il décrit les caractéristiques de l’homme

• le niveau technique qui détermine les contraintes techniques Cycle Abstraction – Niveau Conceptuel • But: Répondre à la question suivante: Que veut on faire?, Quels sont les traitements à effectuer? Modèles: MCD et MCT Cycle Abstraction – Niveau Organisationnel • But: Répondre à la question suivante: Qui fait quoi, quand et comment? Distribution des tâches Hommes / Machines Modèles: MLD, MOT Cycle Abstraction – Niveau Technique (Ou Opérationnel) • But: Répondre à la question suivante:

néerlandais Piet Mondrian, il remarque les multiples rectangles en cartons colorés qui couvrent totalement les murs. Il répètera que cette visite fut un choc déterminant. Après cette visite il se lance dans la sculpture cinétique et rejoint le courant « Abstraction-Création » en 1931. C’est son ami Marcel Duchamp qui qualifie en premier ses nouvelles sculptures de « mobiles » faisant à la fois référence aux motivations de son ami mais aussi de l’art cinétique. Par opposition, les sculptures non-aériennes d’Alexander

de penser par nous-même mais nous restons influencés par notre vécu. Notre cerveau ne peut faire abstraction de ce que nous connaissons. Que nous le voulions ou non, notre imagination est influencée par ce qui nous entoure. Si nous voyons quelque chose qui a un tronc, des feuilles et des branches, nous ne pouvons le dissocier de l’image de l’arbre. Le romancier ne peut totalement pas faire abstraction de ce qu’il connait. Par exemple, les ingrédients du roman « l’Ouragan » de Laurent Gaudé sont des

Histoire de vie Les histoires de vie (biographies) sont généralement collectées sur un grand nombre d’entretiens longs (non structurés et semi structurés). Les histoires de vie sont souvent recueillies et présentées de façons à rapprocher les abstractions de la description ethnographique à la vie des personnes. Les histoires de vie sont sujettes aux problèmes de représentativité, car les gens prêts à raconter leurs vies aux chercheurs ne sont pas toujours typiques de leur communauté. Les histoires

1909 puis le Blaue Reiter suite à refus d’une de ses toiles par la NKV. Part avec Gabrielle Münter et Franz Marc. Mais art de Kandinsky est à part, voie vers l’abstraction. En 1911 parution Du Spirituel dans l’art. Dans quelle mesure abstraction de Kandinsky va-t-elle au-delà du décoratif et du pur jeu des formes et des couleurs ? Dans quelle mesure cette œuvre incarnation de cette contradiction qu’il dit être de son temps et sous quelles formes ? I. Une synthèse non figurative

langage humain possède un contenu linguistique illimité, est capacité de tout dire, il peut exister indépendamment de l’objet, faculté d’abstraction du langage par l’indépendance à l’égard de la lumière parce qu’il est vocal, indépendance donc abstraction. Un événement perçu est décrit de façon diverse, en fonction de l’intervention du jugement de celui qui parle, des opinions personnelles de chacun, d’une évolution propre à la langue dans laquelle l’individu s’exprime, du dialogue toujours envisageable

une élégance et un raffinement singuliers. Le polissage du bronze donne une surface réfléchissante à la façon d’un miroir. Ce portrait est aérodynamique et néoprimitif ; il résume la conception du sculpteur qui, toujours entre primitivisme et abstraction, s’attache à la recherche d’une forme primordiale, « point de rencontre entre le début et la fin ». Les mouvements modernes tentent d’ouvrir une voie vers l’absolu. C’est Brancusi qui va le plus droit, traçant la voie la plus courte vers cet objectif

inconscient, c’est faire abstraction de son existence, ne pas se rendre compte de ce que l’on fait, ce que l’on est, on devient alors irresponsable et insouciant, ce qui annihilerai tout obstacles à la réalisation de nos désirs, et c’est là que ce sujet trouve sa pertinence. Car de plus, à quoi bon être heureux si l’on n’en a pas conscience, si l’on ne peut s’en rendre compte ? Est-il seulement concevable pour un homme d’être inconscient, c'est-à-dire de faire abstraction de sa conscience morale,