Accords du Latran

Le concordat de Bologne est en réalité signé à Rome le 18 août 1516, lors du Ve concile du Latran, entre le Pape Léon X et le chancelier Antoine Duprat qui représentait le roi de France François Ier. Largement conçu par l'humaniste Jean de Pins, il est le fruit des discussions engagées à Bologne en décembre 1515 entre François Ier, auréolé du prestige de sa victoire de Marignan, et Léon X. Il régit les relations entre l'Église catholique romaine et le roi de France jusqu'en 1790. Il donne au roi

La fondation du Royaume d'Italie sous l'égide de la Maison de Savoie met fin à leur existence. La pape Pie IX se réfugie au palais du Vatican se considérant prisonnier de fait. Ce n'est qu'en 1929 qu'un accord est trouvé sur la représentation temporelle du Saint-Siège par les Accords du Latran créant la Cité du Vatican, un état enclavé qui inclut la basilique Saint-Pierre, ainsi que d'autres bâtiments romains bénéficiant de ce fait du statut d'extraterritorialité. Cette cité constitue l'état souverain

la censure de la presse, l’interdiction de grève ou encore l’uniformité des syndicats. De même, le traditionalisme va de paire avec le régime de Mussolini, notamment dans sa manière de traiter les femmes, mais aussi quand il établit les accords du Latran avec le Pape et l’Eglise Catholique (en 1929) qui mettent en place la protection du Vatican par l’Italie, une aide financière et l’obligation de l’enseignement religieux catholique à tous les niveaux scolaires. Ainsi, l’encadrement de la

les Juifs envisagés comme ennemis de classe, son en dessous du capitalisme occidental. Les rapports avec la religion ne sont pas les mêmes, si les Soviétiques sont anti-religieux, le fascisme reconnaît le catholicisme comme religion d'État (accords du Latran en 1929) tandis que le nazisme lutte contre l'influence chrétienne. Les régimes hitlérien et mussolinien développent très tôt une politique extérieure agressive (Une spécificité que l’on ne trouve pas en URSS). Pour les Nazis, il s’agit d’abord

travailleurs et les patrons sont dans des syndicats appartenant au parti. Avec les moyens de presse les fasciste font de la propagande et développe le culte de la personnalité. Pour résoudre le conflit qui l’opposait au Pape Mussolini par les accords de Latran accorde au pape un Etat, le Vatican, une indemnité et le dédommagement de ses pertes territoriales. Le catholicisme devient religion d’Etat en Italie. IV. le nazisme 1.Comment Hitler arriva au pouvoir en 1933 ? Deux évènements allaient

communiste. Lénine meurt en 1924. Staline , secrétaire du PCUS , profite des tensions politiques internes pour renforcer son influence. Il s'assure de l'appui d'une clientèle fidèle , la nomenklatura(liste de ceux qui occupent des postes clés , accordés par le parti communiste dans la bureaucratie et les entreprises) à laquelle il accordedes privilèges? En 1929 il est devenu le chef incontesté de l'URSS. Il est arrivé au pouvoir en éliminant ses rivaux légalement puisqu'il a été élu par les cadres

fasciste. • La mise en place d’un régime autoritaire. Mussolini veut d'abord donner l'impression d'une détente. Il conserve la monarchie et la façade parlementaire : la Chambre des députés, exception faite des socialistes et des communistes, lui accorde les pleins pouvoirs. Son premier gouvernement ne comprend que 4 fascistes sur 13 ministres. Mais Mussolini prépare avec soin les élections de 1924 : la « coalition nationale », en réalité presque exclusivement fasciste, emporte les trois quarts des

par la Droite traditionnelle, qui voit en lui un rempart contre le désordre. Après des débuts hésitants, le dictature s'installe dès 1925 (partis et syndicats sont supprimés, la censure est établie). Le "Duce" se réconcilie avec le pape (accords de Latran) et flatte le nationalisme italien (ambitions coloniales, répression du crime, dirigisme économique) tout en restant l'allié de la France jusqu'en 1934. Hitler profite lui aussi de l'inquiétude bourgeoise devant la menace communiste (révolution

L’histoire de Dieu en image constitue un paradoxe. En effet, Dieu est irreprésentable. On voit ainsi apparaitre un débat sur l’image dans la société. Pour Belting, « la vraie image » est celle à laquelle on croit. C’est une image par laquelle on accorde une vraisemblance. On tente ainsi de savoir ce qui fait foi dans la représentation religieuse. La tradition religieuse des images est quelque chose qui est très complexe, elle est construite par notre société. Hans Belting étudie la signification

croyant ou pas car il y a le pape donc tout les italiens sont donc très croyant. Pour régler ce probleme, il faut que le fascisme attire la population par l'église. Mussolini va inviter l'Eglise à s'approcher d'eux. En 1929 il y a des Accords de Latran, c'est un accord en le fascisme et l'Eglise car ils ont le même ennemis politique, ils sont tous deux anti-communistes, c'est un triomphe pour l'église, et cela arrange les 2 partis car ils ne perdent pas de fascites et de catholiques. Résistance