Allusions Mythologiques Dans Phedre

(1549) Du Bellay est un auteur du 16ème siècle, c’est la renaissance et c’est l’époque de l’humanisme (époque de l’art, de la poésie, l’homme retrouve sa confiance). Du Bellay est très croyant et est passionné par l’Antiquité à laquelle il fera allusion dans ses écrits. Son rêve est d’aller à Rome (près de Dieu et des vestiges antiques). Il est membre de la pléiade, comme Ronsard. IL réfléchit sur l’écriture poétique. I/ Un art poétique Fond : un texte pionnier : -s’adresse à un poète futur

principaux Phèdre Racine : propose dans sa préface la clef de ce personnage éponyme de la pièce. La formule est célèbre : « Phèdre n’est ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente ». Cette ambiguïté fondamentale du personnage fait tout son intérêt dramatique: elle passe du registre de la noirceur à celui du remords, de la violence la plus obscure à de grands moments de lucidité, ce qui suscite chez le spectateur la pitié. Phèdre est une figure tragiquement écartelée.La culpabilité de Phèdre est

Introduction I°) Etudes des personnages principaux dans Phèdre 1. Phèdre 2. Thésée 3. Hyppolyte 4. Aricie 5. Œnone II°) Etudes des personnages secondaires 1. Théramène 2. Ismène 3. Panope Conclusion Noms des exposants : * Khadizatou Ba * Babacar Diop * Dicko Diaw * Ndeye Awa Ndao * Korka Mamel Sarr * Moussa Sadio Diop INTRODUCTION Au XVIIe siècle apparait un grand mouvement de la

fables, publié en 1678 est dédié au petit-fils du Roi, le Duc de Bourgogne. Il s'inspire de la culture grecque et latine et s'ouvre également à la tradition indienne. Il consiste en un travail de réécriture des fables grecques d'Esope et latines de Phèdre et d'Horace, mais également de Pilpay, s'inspirant du Pacha Tantra, et de bien d'autres encore. Pour rendre ses sujets encore plus attractifs et vivants, Jean De La Fontaine utilise maints procédés ; il utilise une grande quantité de personnages

Cours 1 : Introduction à Phèdre I. La tragédie au XVIIe siècle1. La représentation d'une action violente par la parole1.1. La représentation d'une action · La tragédie est un genre « noble » aux côtés de l'épopée, dont les grands principes et fonctions ont été définis par Aristote dans sa Poétique au IV siècle avant JC : « La tragédie est la représentation d'une action noble menée jusqu'à son

parole peut exprimer un engagement, une promesse ou un serment. Dans le Phèdre, le personnage éponyme rappelle à Socrate son engagement, celui de prononcer un discours meilleur que celui de Lysias :" Très noble ami!... Fait ce que tu viens d'annoncer. Tu t'es engagé de prononcer un autre discours qui soit meilleur et qui ne soit pas moins plein que celui de Lysias" p89-90. Et face aux manières du philosophe, Phèdre prononce le serment qui obligera ce dernier à tenir sa parole :" non, je le prononce

composé Phèdre acte 5, scène 7 Introduction : Phèdre est une pièce de théâtre tragique écrite par Jean Racine. Elle a été écrite en 1677, soit au moment où la carrière de Racine était à son apogée. Il faisait partie de la cour de Louis XIV et cherchait à imiter les auteurs grecs antiques. L’histoire mythologique de Phèdre a d’ailleurs également inspiré Euripide et Sophocle durant l’Antiquité. Cette pièce respecte les règles du théâtre classique posées par Aristote dans La Poétique. Phèdre est la dernière

Guide de lecture de Phèdre (1677) de Jean Racine (1639-1699) Acte I Hippolyte, fils de Thésée et d‘Antiope, reine des Amazones, annonce à son confident Théramène son intention de quitter la ville de Trézène pour retrouver son père, dont il est sans nouvelles. Mais il finit par lui avouer la véritable cause de son départ, qui est son amour interdit pour Aricie, une princesse du sang royal d‘Athènes, sœur des Pallantides, ennemis de Thésée. Phèdre, belle-mère d’Hippolyte et femme de Thésée,

épigramme, comédie et tragédie). Deux principes : imitation (au sens d’imitation des Anciens) et inspiration ( la fureur poétique[footnoteRef:2].) [2: La notion d’inspiration est introduite par Platon, dans Ion et dans Phèdre : le philosophe y distingue la fureur prophétique, la fureur mystique, la fureur poétique et la fureur amoureuse. Ces quatre fureurs représentaient pour Marsile Ficin, représentant du néo-platonisme renaissant, les quatre degrés d’élévation vers la

Francais Lecture analytique 1 Introduction La fontaine, grande figure du classicisme, remet au goût du jour le genre de la fable au XVIIème siècle, en s'inspirant des anciens notamment de Phèdre. Dédicacées au dauphin, l'héritier de louis XIV, il utilise souvent le monde animal pour dénoncer les injustices de son temps. La forme de la fable correspond parfaitement l'idéal classique de brièveté, de plaisir et d'instruction. Les animaux malades de la peste est la première fable du livre