Ambivalence

Nineteenth-Century Literature, Heidelberg, Carl Winter Univ.-verl., 1984, p. 145-153. Adolfo Fernandez-Zoïla, « Discontinuités et paroxysmes dans L’Argent », Les Cahiers Naturalistes, 1993, no 67, p. 107-21. Antonia Fonyi, « Zola : question d’argent : ambivalences financières et modèles inconscients dans L’Argent », Romantisme, 2003, no 119, p. 61-71. (en) Richard B. Grant, « The Jewish Question in Zola’s L’Argent », PMLA, décembre 1955, no 70 (5), p. 955-67. (en) Susan Hennessy, « Bearing the Cross of Sterility:

SOCIETE CIVILE:   ORIENTATIONS THEOLOGIQUES.   Par Michael McCabe, SMA. _______________   1. Ambivalence Officielle.   On pourrait imaginer qu’après Vatican II (1962-1965), Medellin (1968) et les grandes Encycliques Sociales des Papes Jean XXIII et Jean Paul II, l’Eglise a maintenant un devoir clair de s’engager dans la promotion de la justice dans la société civile. Mais il y a ambivalence. D’une part, l’enseignement officiel de l’Eglise à son plus haut niveau demande une restructuration

mouvement, que l’expérience peut, tout de même, nous aider à mieux connaître le monde et à nous rapprocher de la vérité. Ainsi, la troisième partie nous permettra de mettre en évidence la fécondité épistémique de l’expérience du fait même de son ambivalence. Tout d’abord, on peut affirmer que l’expérience sensible que l’on fait, chaque jour, du monde nous trompe assez souvent et nous éloigne des vérités scientifiques. Par sensible, on entend l’ensemble des impressions et des représentations

ressembles…horizons » (v.9) → Fait le lien entre la femme et le paysage ➢ Chiasme : « ô femme dangereuse, ô séduisants climats » (v.13) → La femme est d’abord séduisante puis se révèle dangereuse. Axe 2: ambivalence de la femme ➢ Lexique qui marque l’incertitude, ambivalence : « mystérieux » (v.2), « alternative » (v.3), « mal inconnu » (v.7), phrases interrogatives (v.2, v.14-15-16) ➢ Énumération : « bleu, gris ou vert ? » (v.2), « tendre, rêveur, cruel » (v.3), « blancs, tièdes

dissociation. Forclusion de la réalité (rejet de la réalité hors de soi) ce qui entraîne un délire hallucinatoire Symptômes majeurs : La dissociation désigne la perte de l’unité de la personne manifestée par l’hermétisme, les bizarreries (paradoxe), les ambivalences (contradiction), un détachement de la réalité (retrait et repli sur soi) dans les domaines de la pensée, de l’affectivité ou du comportement. A lire : Pa pas fou, Anne Juranville Figures de la possession A voir : Un homme d’exception Parmi les

dysfonctionnements du traitement cognitif des information. il oppose : Les troubles primaires : Qui expriment le processus schizophrénique (troubles des associations , hallucinations, stéréotypies, troubles somatiques ) Les troubles secondaires : Délire , ambivalence,autisme qui se manifestent lorsque le malade réagit à une atteinte externe ou interne. Ces troubles secondaires sont psychogènes (se sont des modification des fonctions psychiques , soit des tentatives d'adaptation au processus pathologique )

son séjour chez les Cimmériens, Ulysse rencontre les principales figures de l’histoire et de la mythologie grecques. Ce qui frappe à l’examen de ces figures, c’est qu’elles présentent une image très ambivalente, très contradictoire. Cette ambivalence est présente tout particulièrement chez la nymphe Calypso et la magicienne Circé, qui se montrent d’abord maléfiques pour Ulysse et ses compagnons, puisqu’elles les retiennent longuement, mettant en péril leur identité ou leur mémoire, mais qui

l'autre représentant au contraire la déchéance de l'homme dans sa misérable condition humaine qui le plaque au sol, au niveau de la terre et de la boue. « Le poison » est le quarante-neuvième poème de cette section, dans laquelle s'exprime cette ambivalence et cette contradiction. Cruellement confronté au « Spleen », terme anglais qu'il utilise pour désigner sa haine de vivre et son désespoir, Baudelaire évoque les différentes stratégies mises en œuvre pour y échapper. Le poème est construit sur

Démystification de la philo du progrès. Chateaubriand : René est un double de l’auteur d’une certaine manière. Solitude qui est au fond à la fois source d’exaltation et de souffrance. Romantiques vont explorer domaine des sentiments pour en relever les ambivalences. NRJ très forte, typique de romantisme que de passer de la symétrie à un rythme ternaire qui retranscrit l’exaltation. Chateaubriand comme écrivain du manque, de l’absence, qui traduit aspiration à l’infini. Solitude qu’il essaye de combler par

aspire à la stabilité, à créer une bulle protectrice stable, artificielle. D'autre part il reste un être de nature, imprévisible, changeant, sans cesse en devenir, tant au niveau de l'histoire individuelle que de l'histoire d'une culture. Cette ambivalence entre recherche de stabilité et élan vers le devenir, H. Arendt la rencontrera souvent, en particulier quand elle s'attachera à définir le rapport action/Cité. La technique a répondu dans un premier temps au souci de l'homme de se couper de son