Ambivalence

Le droit, tout d’abord, est communément défini comme l’ensemble des règles ayant pour objet l’organisation de la société et dont la violation est exclusivement sanctionnée par l’autorité publique. La morale, ensuite, présente une certaine ambivalence ; ambivalence qui n’est pas, d’ailleurs, sans raison dans les antagonismes suscités par son rapprochement avec le droit. Au plan «spirituel» , la morale désigne une éthique transcendantale, immuable et universelle qui se distingue alors au droit, tel

aboutir au tribalisme, responsable d'affreuses violences. Mais il y a un problème à cette question de l'identité, une ambivalence. En effet, chaque être humain à deux besoins contradictoires: celui de se construire une identité, et celui de s'en libérer. Trouver et comprendre ses racines et s'en défaire. Simone Weil, philosophe française, s'était déjà penché sur cette ambivalence et affirmait: «  C'est un devoir pour chaque homme de se déraciner [ pour accéder à l'universel ], mais c'est toujours

présente une opposition et non une identité entre le sacré et l’impur ; c’est là l’expression de cette ambivalence affective. Pour le primitif, le tabou est un commandement de sa conscience morale, et il est suivi d’un épouvantable sentiment de culpabilité inconnu quant à ses origines. Ces considérations permettent de supposer que la conscience morale procède également d’une ambivalence affective. L'interdiction de l'inceste et donc l’exogamie avaient une grande importance

avec le contenu du discours). La dissociation mentale se repère à partir des signes suivant : -bizarreries (fou rire en contradiction avec la situation) -hermétisme (caractère énigmatique du discours) -détachement de la réalité (repli sur soi) -ambivalence (affirmation de 2 choses contradictoires en même temps) La dissociation mentale affecte ≠ domaines : affectif, cognitif, et comportemental. La dissociation mentale cognitive -préservation du potentiel intellectuel mais totalement inefficace -troubles

c’est un plaisir et un risque (le fait qu’il soit au-delà). Nous imaginons autrui et nous prenons plaisir à cette imagination. Certes nous seront toujours déçu ( et nous décevrons toujours), mais il ne peut y avoir le plaisir sans la déception ambivalence. Autrui est toujours au delà des synthèses que l’on peut effectuer. * L’idiot de la famille de Sartre qui parle de Flaubert. Chacun est sans cesse au-delà  des synthèses qui peuvent être effectuées. III) Mais est-ce si négatif que cela

être un facteur d’inégalité malgré les progrès qu’il a pu amener. C’est pourquoi, la généralisation du capitalisme apparaît comme ambivalent du au fait qu’il soit facteur de progrès mais aussi d’inégalités. Ainsi en se nourrissant de cette ambivalence, le capitalisme à su triompher de part son adaptabilité et sa pérennité. En effet, la généralisation du capitalisme a pu se voir de manières très différentes, étant donné que cette généralisation a su faire du capitalisme un facteur

elle : elle l’envoie à la grand-mère (figure de substitution de la mère) pour qu’il la dévore : elle est un obstacle à sa rencontre avec le loup, mais aussi car c’est la seule capable de faire barrage entre le loup et elle = ambivalence du petit chaperon rouge = ambivalence de la fillette pour le père (relation d’attirance et de crainte à cet âge là) Formuler de façon métaphorique les peurs de l’enfant. Mythes et contes prennent leur source dans un monde surnaturel mais restent rationnel

conscience. Si le dialogue risque d’émettre des tensions, le thérapeute changera de sujet pour maintenir une relation de qualité. Enfin, le clinicien résumera peu à peu les dires de son patient afin que celui ci puisse se rendre compte de son ambivalence et qu’il puisse en tirer des conclusions. Différents stades de changements successifs ont été établis à partir d’observations cliniques. Ainsi on observe le stade de pré-contemplation suivi de celui de contemplation, de ce stade suit celui de

dit. Ce jeu est ici argumentatif : «  si j'avais eu des enfants … je n'eusse certes pas assuré cette charge. » Sophocle emploie ce pronom je dans le discours d'Antigone lorsqu'elle argumente et lorsqu'elle évoque sa souffrance intérieure. Cette ambivalence de ce mot donne sens à un paradoxe du texte : Antigone est pleine d'assurance mais elle souffre. Sophocle par l'emploi de groupes de mots mis entre virgule augmente les tonalités. Dans la succession de groupes de mots entre virgules, augmente l'intensité

absolu. Au vers 12 : « je crois » à l’opposé de « certaine ». Au vers 13 : Yathus et ot de trois syllabes qui est un apogée du désir à l’opposé du vers 14 : retour au malheur opposé qui est le malheur : c’est un cercle vicieux. La cause de cette ambivalence est l’ « Amour » qui domine.               3). Expression de la douleur d’aimer.   L’expression de la douleur d’aimer se fait par l’intermédiaire du sentiment de mélancolie. Ce sentiment envahit le « je », qui comprend tout, qui met en relation