Antonio Gramsci

convenablement organisé en vue de dégager un excédent de la balance commerciale. Résultat qui est obtenu par un investissement raisonné et volontaire dans des activités économiques à rendement croissant, comme l'avait identifié l'économiste italien Antonio Serra dès 1613. Pour ce faire, l'État se trouve investi de la responsabilité de développer la richesse nationale, en adoptant des politiques pertinentes de nature défensive (protectionnisme) mais aussi offensive (favorisant l'exportation et l'industrialisation)

et fuit en exil et continue de prôner la révolution permanente jusqu’à son assassinat par un agent soviétique en Il n’aura jamais de parti ou de structure politique pour le suivre, néanmoins c’est quelqu’un de très important. Antonio GRAMSCI est un italien qui a été membre fondateur du parti communiste. Il a été emprisonné en 1926 et restera en prison jusqu’à sa mort en 1937. Il ne produit pas véritablement de théorie générale, néanmoins, il pose la question centrale qui animait beaucoup

des classes) ➢ Lénine, l’Etat et la révolution, 1917 : « Le remplacement de l’Etat bourgeois par l’Etat prolétarien est impossible sans révolution violente. », on ne peut pas construire le socialisme en menant le combat dans l’Etat. Pour Antonio Gramsci, le pouvoir de l’Etat est la traduction de l’hégémonie de la bourgeoise, mais pas son origine ; il faut donc travailler à un changement culturel de la perception, de la représentation et de l’action de l’Etat (sous la direction du Parti communiste)

des membres de l’école de Francfort tel que Adorno sur les industries culturelles. Contrairement à eux, il ne les dénonce pas et s’intéresse aux pratiques des individus. * Celui du philosophe italien Antonio Gramsci. Hoggart s’intéresse plus particulièrement au concept d’hégémonie de Gramsci cad la possibilité pour un groupe social d’exercer son pouvoir intellectuel est moral sur l’ensemble de la société. Pour se faire, ce groupe doit tisser des alliances avec d’autres. Il en résulte une domination

liens entre État et société civile. Au XXIe siècle, Jurgen Habermas avance que la société civile forme une sphère publique lieu d’engagements extra-institutionnels autonome de l’État et en interaction avec lui. Des théoriciens marxistes, tel Antonio Gramsci, se sont interrogés sur la distinction entre l’État et la société civile, en arguant que le premier est intégré de nombreuses façons dans la seconde. D’autres, comme Louis Althusser, ont maintenu que les organisations civiles comme l’Église, l’école

stimulations et renvoie à une compréhension du processus réceptif beaucoup plus complexe. On en trouve confirmation dans les réflexions d’un auteur comme Antonio Gramsci vers qui une grande partie de la recherche anglo-saxonne sur la communication - Les Cultural Studies par exemple – regarde aujourd’hui avec grand intérêt. Le problème sur lequel Gramsci arrête son attention - et elle est curieuse la convergence entre théorie néo-marxiste et recherche sociale d’organisation fonctionnaliste – est le rôle

Théoriciens se revendiquant du marxisme, ou inspirés par Marx • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • Louis Althusser Walter Benjamin Daniel Bensaïd Bertolt Brecht Cornelius Castoriadis Guy Debord Friedrich Engels Herman Gorter Antonio Gramsci Henryk Grossmann Mansoor Hekmat Anselm Jappe Alexandra Kollontai Karl Korsch Paul Lafargue Henri Lefebvre Lénine Abraham Léon Georg Lukacs Rosa Luxemburg Mao Zedong Herbert Marcuse Paul Mattick Ernest Mandel Anton Pannekoek Kostas Papaioannou

parole, beaucoup d'individus croient honnêtement défendre des idées alors que ces idées ne sont que l'émanation de rapports de forces qui restent dissimulés par l'apparence d'objectivité des idées. Dans un texte célèbre des Cahiers de prison, Antonio Gramsci souligne que le moindre discours, si on n'y prend pas garde, véhicule une idéologie inconsciente. (Pour découvrir une synthèse de cette pensée, cliquez ici.) Il faut donc apprendre à "ausculter" les idées et les discours. Nietzsche utilisait

inégalités du système international et intègrent dans le champ des relations internationales des facteurs tels que les classes sociales. Ils interrogent par ailleurs la notion d’État. Principaux auteurs : Robert Cox, André Gunder Frank, Stephen Gill, Antonio Gramsci, Jurgen Habermas, Andrew Linklater Les divers sous-champs [modifier] Le champ des relations internationales se divise en cinq sous-champs : • Théorie des relations internationales. Ce champ étudie les différents courants théoriques

ou décapitée. La police politique italienne (OVRA) traque les opposants et notamment les communistes qui sont envoyés en résidence surveillé ou sur des iles perdues : ce sont les confinati. D’autres sont emprisonnés comme le leader communiste Antonio Gramsci, qui n’y survivra pas. D’autre enfin préfèrent l’exil (ce sont les fuorusciti) mais sont parfois rattrapés. Bien que le fascisme se veut la doctrine de l’ordre et « exige une discipline » (l. 48), celui-ci permet au nom de l’État un retour à la