Antonio Gramsci

peut être intéressant de constater que, suite à cette rupture, Marinetti revient à des contacts avec une gauche socialiste radicale qu'il n'avait pas eu l'occasion de fréquenter depuis plusieurs années : ce rapprochement a pour témoin privilégié Antonio Gramsci, ouvert aux avant-gardes, aux anciens combattants et aux fiumani, et qui signe en janvier 1921 dans sa revue Ordine nuovo un article intitulé « Marinetti révolutionnaire ? », dans lequel il dresse un bilan flatteur de l'action “révolutionnaire”

corps et de vies humaines. » Ibid., p. 541. (fabriques qui broient le végétal et le bois pour en extraire jsp quoi)L’industrialisation rime avec la mutilation des corps dans le film de Petri mais aussi La Fabbrica parla.Extrait : La Fabbrica parla, Antonio BertiniReprésentation du geste ouvrier, instance supérieure que les gestes eux-mêmes, déformation de la main jusqu’à l’amputation de la main. Témoignage des ouvriersTravail industriel de ce que la cadence ouvrière fait au corps. La représentation

n’est pas le seul fait de l’Etat, ou plutôt l’Etat doit être entendu comme un ensemble d’acteurs qui participent de sa domination. En effet, l’analyse de Robert Cox est l’héritière du philosophe italien Antonio Gramsci qui avait contesté la séparation entre l’Etat et la société civile. Selon Gramsci, la structure de l’Etat reproduit et pérennise la hiérarchie née des rapports sociaux au sein de la société civile. Le groupe social dominant assurant son hégémonie non par la contrainte mais par sa faculté

à dire que état tout comme la religion finit par devenir étranger aux individus alors même que état est censé les représenter car état ne remplie que la fonction de légitimer l’ordre établit. D’autres auteurs vont s’y intéresser : - Antonio Gramsci (1891-1937) - Louis Althusser (1918-1990) Ils ont essayé de montrer comment état use d’un type de contrainte purement physique pour imposer le point de vue des dominants mais aussi comment état recourt à un type de contrainte plus idéologique

pouvoir, c’est aussi une capacité d’esquive. A a du pouvoir sur B si A peut empêcher que B fasse quelque chose qu’il aurait fait spontanément. c) Enfin, la troisième face a été décrite par Steven Lukes. Il s’inspire des travaux du philosophe Antonio Gramsci. Celui-ci a beaucoup a théorisé la question de l’aliénation. Etre aliéné, c’est être séparé de ce qu’on est. La force du capitalisme repose sur l’aliénation des travailleurs. Il développe une culture qui rend imperceptible au travailleur leur

notion. Donc on a tendance à rattacher cette notion de surhomme à lui, à la philo mais un certain nombre de critique littéraire défendent le faite qu'il est pas né de la philo mais du roman populaire. Naissance dans le roman feuilleton Antonio Gramsci (Italie): Emprisonné durant 15 ans, durant son empriossonemtn il a écrit des carnets de prison (30). Il parle de ses idées politique mais va parler de cette notion de surhomme, de littérature. Le surhomme serait né d'une littérature populaire

c’est-à-dire de persévérer (Le Prince, chapitre XIX). Pourtant, si Machiavel a quasiment l’intuition du conatus, il n’en a pas le concept. Mais c’est qu’il n’a pas pour projet de déployer un appareil philosophique. Il faut suivre ici l’interprétation de Gramsci pour qui Machiavel ne propose pas un système, ni n’écrit un 42. Michel Aglietta et André Orléan, La Violence de la monnaie, op. cit. 43. Frédéric Lordon, La Politique du capital, Paris, Odile Jacob, 2002. 44. Bruno Amable et Stefano Palombarini,

et la question de la pertinence du concept de société civile globale. Les termes de société civile ont une histoire qui remonte à l’Antiquité mais ils ont été remis à l’ordre du jour de la science politique par le révolutionnaire italien Antonio Gramsci avant d’être associé au terme global par notamment tous ceux qui croient à l’émergence d’une société mondiale susceptible en particulier de réformer la mondialisation. Historiquement donc, l’expression de société civile a son équivalent en latin

relations and their various articulations in sites around the world merit serious study as part of the question of global power and resistance. Gramsci: Capitalism, ideology, hegemony If Marx left us with incisive theorizations of capitalism, its core structures and constitutive tensions, it was the Italian political theorist and communist leader Gramsci (1971) who contributed to the historical materialist tradition a conceptual vocabulary with which to enable processes of transformative politics

multipartisme peut être lue, de Senghor à Diouf, comme une tactique pour "maintenir l’État" (Machiavel) et renforcer son hégémonie. C’est dans ce sens que Robert Fatton écrit à juste titre : "The Senghorian Constitution of 1976 (...) represented what Antonio Gramsci called "passive revolution" ( - Robert Jr. FATTON, The Making of a liberal Democracy. Senegal's Passive Revolution, 1975-1985, Boulder and London, Lynne Rienner Publishers, 1987, p. 13. ) et plus loin il ajoute : "Diouf decides to neutralize