Arbre

est sublimé, les cheveux, la peau, elle est parfaite, les détails sont très bien faits. Son but est donc de mettre en avant la beauté de la Vénus ainsi que l’importance des autres personnages. Au niveau des décors, on sait qu’il s’agit d’eau ou d’un arbre, mais, le rendu n’est pas parfait. La signification suffi pour cette œuvre. Le contraste de quantité est rendu par les couleurs, plus de couleurs froides que de couleurs chaudes dans le décor, ce qui fait ressortir le rouge des objets. Sens de lecture

fonctionnement des zones de croissance.   | 1 La diversité morphologique des végétaux 1.1 Des ports différents pour un même espèce Le port d'un végétal est définit par la disposition relative de ses différents organes (La disposition des rameaux sur un arbre est souvent caractéristique de son espèce). D'autre part, la forme des feuilles permet aussi de distinguer les espèces entre elles 1 . L'analyse de l'ADN des végétaux et des descendances permet d'affirmer que les caractéristiques morphologiques d'un

les vertus médicinales d’un certain nombre de plantes. Feuille de tabac : vertu médicinale à l’origine. - . Ils ont rapporté des substances, notamment végétales, à but thérapeutique. Il y a par exemple le bois de gaïac qualifié de lignum vitae (arbre de vie). On l’utilisait dans des décoctions destinées à battre la syphilis. Chaque pays rejetait sur son ennemi l’origine et la provenance de cette épidémie. En 1521 un allemand (Von Hutten) évoque l’utilisation et la diffusion du bois de gaïac. Cela

« Odes »Par Victor Segalen (1897-1882) 11) Heureux celui qui meurt d’aimer publié en 1963 extrait « le fou d’Elsa » par Louis Aragon (1897-1919) 12) Le dernier poème publié en 1926 par Robert Desnos (1900-1982) L'ARBRE (1925) Cet arbre et son frémissement forêt sombre d'appels, de cris, mange le cœur obscur de la nuit. Vinaigre et lait, le ciel, la mer, la masse épaisse du firmament, tout conspire à ce tremblement, qui gîte au cœur épais de l'ombre. Un cœur qui crève

coloquintes, s’entrelacent au pied de ces arbres, escaladent leurs rameaux, grimpent à l’extrémité des branches, s’élancent de l’érable au tulipier, du tulipier à l’alcée, en formant mille grottes, mille voûtes mille portiques. Souvent, égarées d’arbre en arbre, ces lianes traversent des bras de rivière sur lesquels elles jettent des ponts de fleurs. ... Une multitude d’animaux placés dans ces retraites par la main du Créateur y répandent l’enchantement et la vie. De l’extrémité des avenues on aperçoit des

Charles Darwin. Théorie de Lamarck ; Selon le naturaliste, les animaux seraient capable, au cours de leur vie, de modifier leurs organes pour mieux s’adapter à leur environnement. Par exemple, la girafe n’arrive pas à atteindre les feuilles d’un arbre, elle doit alors faire un effort pour allonger son cou, ce qui génère un véritable allongement. Ses descendants hériteront de son cou allongé et continueront à l’allonger si nécessaire. Les caractères qui apparaissent au cours de la vie d’un organisme

semble pas inquiet pour autant. I - Le tableau d'un univers inhumain 1) Une nature niée Le personnage avance à cheval dans la Provence et donne à voir un paysage naturel. Si la nature est bien présente ("talus, chardons, lichen, feuillage, arbre"), on s'aperçoit qu'en fait cette nature est comme détruite par le texte. On remarque la présence de la négation syntaxique ("une fumée qui ne retombait pas") ainsi que d'une négation thématique ("sans éclat, sans contour"). Cette nature n'est pas

seulement troublé par de discrets sanglots qui s’égrenaient par une fenêtre du chateau… On dit que depuis, un petit roi erre dans la forêt, l’âme en peine, les yeux rougis, le manteau arraché, et qu’il reste de longues heures devant le tronc calciné d’un arbre en forme de couronne...

une philosophie complètement différente. Toute symétrie, tout effet de répétition s’y trouvent non seulement absents, mais délibérément bannis. Les pierres même d’une allée seront soigneusement posées de façon dissymétrique. Chaque élément — pierre, arbre ou buisson — est choisi pour ce qu’il est, mis en valeur, mais d’une façon telle qu’il se fonde dans une harmonie d’ensemble […] Rien de plus sauvage, en apparence, qu’un bonsaï ou que l’arbre nain qui se penche sur un étang; il s’agit là, cependant

Résumé d'Un roi sans divertissement de Jean Giono Pages 9 à 13 : Présentation d'un arbre : le hêtre solitaire, voisin de la scierie d'un certain Frédéric II. Beauté exceptionnelle et inexplicable de ce hêtre. Un narrateur, s'exprimant à la première personne fait allusion à une famille presque éteinte : les V. Cette famille réside, depuis le milieu du XIXe siècle, dans la région de Die (à une soixante de kilomètres au sud de Grenoble, dans le Dauphiné). Le narrateur évoque un certain M. V., qui