Aux Arbres Victor Hugo

G. de G." se situe au début du recueil des Contemplations dans le premier livre dénommé Aurore. Ce poème a pour thématique l'amitié et la reconnaissance envers une femme appelée Madame D. G. de G. Dans ce poème, Hugo exprime sa gratitude et son admiration pour cette amie qui lui a donné du réconfort et de l'inspiration dans les moments difficiles. Il exprime sa tristesse à l'idée de devoir se séparer d'elle. Ce poème à une forme fixe avec des rimes suivies sur

Sommaire: 1) Poètes choisis pour mon anthologie: a) Verlaine b) Charles Baudelaire c) Apollinaire d) Victor Hugo 2) Biographie des poètes: a) Verlaine b) Charles Baudelaire c) Apollinaire d) Victor Hugo 3) Les Poèmes: a) Ariettes oubliées II b) Ariettes oubliées III c) Ariettes oubliées IX d) Le son du cor e) La chanson du Mal- Aimé f) alcools « cors de chasse » g) Correspondances h) Tout est plein d’âmes i) La musique 4) Ma préface:

Victor Hugo, "Crépuscule", commentaire composé Introduction :   Ce poème composé de sept strophes de quatre vers en alexandrins, est extrait des Contemplations, recueil de poésie de Victor Hugo, composé de 158 poèmes rassemblés en six livres, publié en 1856. Hugo expérimente le genre de l'autobiographie versifiée. Le souvenir prend donc une place prépondérante. Hugo aborde les thèmes de l'amour, de la joie, mais aussi de la mort et du deuil et exprime sa foi. Dans ce poème qui relève à la

sont revenus, Et la treille qu’on a saignée Tord ses longs bras maigres et nus Sur la muraille renfrognée. La brume a terni les blancheurs Et cassé les fils de la vierge ; Et le vol des martins-pêcheurs Ne frissonne plus sur la berge. Les arbres se sont rabougris, La chaumière ferme sa porte, Et le joli papillon gris A fait place à la feuille morte. Plus de nénuphars sur l’étang ; L’herbe languit, l’insecte râle, Et l’hirondelle, en sanglotant, Disparaît à l’horizon pâle. Maurice

Marouane Zaboul Dissertation 1 Sujet  : Montrez que Charles Baudelaire et Victor Hugo, dans leurs poèmes respectifs « À une passante » (p.29) et « Elle était déchaussée, elle était décoiffée » (p.19), présentent le thème de l’amour sous des angles très différents. La discussion entre Nihan et Kamal dans le film turc « Kara Sveda (l’amour éternel) » durait depuis quelques heures concernant ce sujet d’une beauté inexplicable, mais d’une complexité infernale. L’amour, ce sentiment

poésie romantique et chez les poètes du XXe siècle, tels Apollinaire, Eluard, Aragon. La poésie lyrique exprime les sentiments les plus passionnés. La nature Le monde et la nature sauvage est au cœur de l’expérience lyrique. Le promontoire de Hugo, la maison du berger de Vigny, le vallon de Lamartine, les fenêtres de Baudelaire figurent la relation du poète au monde extérieur, naturel ou urbain. L’espace — verger, vallon, jardin, lac, montagne, dessine une géographie intime qui ressemble au

Etude linéaire : Hugo, « Crépuscule » Introduction : Victor Hugo (1802-1885), auteur du dix-neuvième siècle, s’illustre ici dans un poème lyrique intitulé «  Crépuscule », appartenant au mouvement romantique, tiré de son recueil de poésies, Les Contemplations , composé de 158 poèmes et publié en 1856. Ce poème, constitué de sept quatrains d’alexandrins en rimes croisées, évoque un paysage crépusculaire et ambivalent. Le crépuscule

littérature comme en poésie au cours du XVIlle et du XIXe siècle, renvoie a l'imaginaire, à l'aventure ainsi qu'a la description de paysage dans laquelle la nature tient un rôle primordiale. La poésie romantique est généralement aussi lyrique tout comme Victor Hugo un grand poète novateur et fécond Français le prouve dans ses nombreux poèmes. Notamment dans son recueil de poèmes, nommé « les contemplations » publié en 1856 qui regroupe un total de 158 poèmes répartis en 6 livres. Le I livre de ce recueil rassemblent

; A qui saurait s’emparer d’elle Elle peut ouvrir un trésor. Mais elle est sage, elle est sévère ; Quelque mal pourrait m’arriver. Fleurette, craignons sa colère. Ne dis rien, laisse-moi rêver. Alfred de Musset, Poésies nouvelles Aux arbres Arbres de la forêt, vous connaissez mon âme! Au gré des envieux, la foule loue et blâme ; Vous me connaissez, vous! - vous m’avez vu souvent, Seul dans vos profondeurs, regardant et rêvant. Vous le savez, la pierre où court un scarabée, Une humble

nous habitions tous ensemble Sur nos collines d'autrefois, Où l'eau court, où le buisson tremble, Dans la maison qui touche aux bois, Elle avait dix ans, et moi trente ; J'étais pour elle l'univers. Oh! comme l'herbe est odorante Sous les arbres profonds et verts ! Elle faisait mon sort prospère, Mon travail léger, mon ciel bleu. Lorsqu'elle me disait: Mon père, Tout mon coeur s'écriait : Mon Dieu ! À travers mes songes sans nombre, J'écoutais son parler joyeux, Et mon front s'éclairait