Bacchantes

Ainsi les trompettes et les tambours deviennent inutilisables. L’armée est totalement désordonnée est ressemble plus à une horde de bacchantes lors d’une bacchanale qu’à une armée professionnelles. Après le passage du tiret, le narrateur se recentre sur frère Jean qu’on retrouve aussi belliqueux « choquer » l8. L’armée n’est pas en position de combattre et le moine s’avère aussi sans pitié

(…) éblouissante vision. », grâce à cette énumération d’adjectifs lors du dialogue de Gringoire, on constante qu’il est fasciné par la gitane et sa danse, il l’admire l.13 : « (…) c’est une salamandre, c’est une nymphe, c’est une déesse, c’est une bacchante du mont Ménaléen ! ». En plus, Gringoire décrit, grâce à l’imparfait de description, les mouvements des gens qui se trouvent autour la gitane et la regardent danser l.7-8 : « Autour d’elle tous les regards étaient fixes, toutes les bouches ouvertes

d'avoir dépasser le commencement du royaume des morts ou elle va disparaître .Pourtant Orphée ne respecte pas cette condition,en touchant les régions lu­mineuses,Orphée se retourne et perd Eurydice pour toujours inconsolable .Orphée est tué par les Bacchantes furieuses de son amour exclusif 2)Cocteau et la mort: La vie de Jean Cocteau présente une chaîne de tristesse ou le thème de la mort s'incarne par excellence .Commençant par la mort de son père pour une raison mystérieuse:Il était tué par une

contexte irréel du mythe d'Orphée, installant un climat de réalisme irréel, délire lyrique empreint de surréalisme, à cheval entre la réalité et le rêve. Orphée incarne un poète « dont la célébrité agace l'avant-garde». L'avant-garde, incarnée par les Bacchantes du mythe d'Orphée, s'est plutôt engouée de Cégeste, un poète de dix-huit ans dont l'insolence et l'audace séduisent dès son arrivée dans le «monde». Dès lors, la princesse, qui, paradoxalement, incarne la Mort d'Orphée et en est amoureuse tout à

épiphanie est aussi surprenante que désastreuse. En dépit de toute surveillance et de tout contrôle, Dionysos, dans la société gréco-romaine aussi bien que dans la tragédie d’Euripide, réussit à implanter son culte, à le propager et, dans le cas des Bacchantes, à détruire la polis ou la cité qui lui résiste. Dans la Grèce fragilisée par la guerre du Péloponnèse (431-404 av. J-C), comme plus tard dans Rome pendant la deuxième guerre punique (219-210 av. J-C), le dionysisme vient recruter des néophytes

seconde fois Eurydice. Incapable d’émouvoir à nouveaux les dieux, il dut retourner en Thrace où il passa le reste de sa vie à pleurer sur sa perte, inconsolable. L’histoire la plus répandue sur sa mort est qu’Orphée ayant refusé les avances des Bacchantes, celles-ci le coupèrent en morceau et jetèrent sa tête et sa lyre dans le fleuve Hébros, qui arriva sur l’île de Lesbos où elle fut enterrée alors qu’elle chantait encore. Parce qu’il montrait depuis son plus jeune âge des prédispositions pour

Andromaque, Les Bacchantes, Électre, Iphigénie en Tauride et Les Troyennes. Il s'est illustré par ses thèmes variés, sa technique d'argumentation et les libertés qu'il prenait avec la mythologie. Mais au centre de son inspiration se trouve un profond pessimisme, heureusement corrigé par son désir de croire : ses personnages, tendres et fragiles, sont tous emportés par le tragique destin des hommes et nous font penser à l'œuvre d'un autre poète, Virgile. Bibliographie : Les Bacchantes Électre

grande procession, où de jeunes hommes déguisés en satyres traversaient la ville en transportant l’image du dieu assis sur un char ressemblant à un bateau ; puis avaient lieu les sacrifices d’animaux. Enfin la fête pouvait commencer... Les bacchants et bacchantes, officiants de Dionysos, lui dédiaient un hymne sacré, le dithyrambe, ayant dessiné un cercle autour de son autel et en dansant. Parfois l’un d’entre eux se détachait et montait sur une estrade afin d’improviser une monodie... c’était les

(beauté du diable, fraicheur de la jeunesse, c’est un ange au départ) comparé à un prince : « prince des démons ». Mais Dionysos également avec ses boucles blondes charme Penthée et le persuade de venir seul et déguisé en femme pour observer les bacchantes. De même ana Wintour figure emblématique du film : le diable s’habille en Prada a pour réputation de faire l’éloge uniquement des femmes belles et minces. Serait elle aussi redouté et respectée si elle considérée comme état laide. B) Dionysos

provoqueront, aussi bien chez les personnages que chez lui, une grande confusion. Quel est la place du type dans l'œuvre et vis à vis des autres personnages? I. LE TYPE : A. Portrait physique Le type est décrit comme « affublé de grosses bacchantes noires, d’un melon, d’un pébroque et de larges tatanes. » dans sa première apparition, p.44 chapitre 4. Dans le film, on peut voir qu'il est assez soigné, chic, qu'il prend soin de lui. Il semble avoir les moyens de bien s'habiller (de plus, il