Baldassare Castiglione

confiance en l’homme, c’est un idéal nouveau qui se répand, rendant possibles tolérance, réflexion critique et libre discussion. C. Un nouvel art de vivre et de gouverner Un homme nouveau Publié à Venise en 1528 par Baldassare Castiglione, Il Cortigiano (traduit en français : Le Parfait Courtisan) exprime le nouvel art de vivre que promeuvent les humanistes. Le courtisan, symbole de l’homme nouveau, doit être maître de ses émotions, poli et courtois, connaître les lettres,

François Ier voit se transformer la figure du courtisan. A la vieille noblesse d’épée se substitue une noblesse royale composée d’hommes nouveaux qui brillent par leur esprit cultivé et leur raffinement. A ce sujet, le livre du courtisan de Baldassare Castiglione (1528) décrit les nouvelles qualités de l’homme de cour. En outre, le courtisan ne profite pas seul du mécénat royal. Il est souvent à la tête d’un réseau pyramidal de clients qui permet de faire rayonner les largesses du Roi bien au-delà

humain. L’intelligence passait pour être le seul moteur de l’histoire, Dieu Lui-même n’intervenant qu’à la fin des temps. Les seuls miracles possibles sont désormais ceux du savoir. Les humanistes se décernaient volontiers des « satisfecit ». Castiglione (Baldassare 1478-1529) dans L’homme de cours où le parfait courtisan (1528) écrivait « aujourd’hui, les enfants savent plus de choses qu’autrefois les grandes personnes ». Rabelais (1494-1553) : « je vois les brigands, les bourreaux, les aventuriers

complexes que ne l'étaient ceux de l'ours. b) La virilité au XVI ème siècle et au XVIII ème siècle. • Le 16eme siècle : On voit à partir du 16eme siècle les choses évoluer, on pense au personnage emblématique quand à cette évolution comme Baldassare Castiglione avec son livre sur le courtisan « Cortegiano », qui est très révélateur de ce passage, de cette brutalité qui est celle de la virilité à ce moment là, vers des valeurs qui sont plus celles de la souplesse, de l'élégance. De nouveaux arts

Boétie est contemporaine de l’émergence des cours princières et de la réflexion sur le phénomène courtisan (qui culminera bien sûr ensuite au XVIIe siècle avec Louis XIV et Versailles). Cf le manuel du savoir vivre courtisan publié par Baldassare Castiglione, Le Courtisan, Venise, 1528 « L’UN qui n’est pas seul », c’est l’Etat quel qu’il soit : chacun est ainsi conduit à prolonger le tyran dont il devient les bras, les yeux etc… exerçant à son tour l’illusion de la maîtrise. 6 Chacun

(Pascal, | | | |•         Il Cortegiano de B. |Descartes) | | | |Castiglione | | | | |•         Baltasar Gracián | | |La satire

atteints d'une monomanie psychiatrique qui les rend dangereux pour les autres et la société. "L'honnête homme" est un idéal de vie en société, de vie avec les autres. Il trouve son origine dans un traité de vie de cour, Le Courtisan de Baldassare Castiglione, qui impose un modèle, des normes à suivre. Mesure et discrétion; politesse et raffinement; élégance et caractère impeccable de l'apparence mais sans parure excessive ( "vulgaire"; précieux) culture mais modestie et effacement; assurance

democracia en América. Karl Marx y Friedrich Engels: El manifiesto del partido comunista. John Stuart Mill: Sobre la libertad." In Zschirnt, Libros: Todo lo que hay que leer. Madrid: Santillana-Taurus, 2004. 83-104.* _____. "7. Civilización. Baldassare Castiglione: El cortesano. Robert Burton: Anatomía de la melancolía. Molière: Comedias. Jean-Jacques Rousseau: Discurso sobre las ciencias y las artes. Denis Diderot: El sobrino de Rameau. Thomas Mann: Los Buddenbrook. Theodor W. Adorno y Max Horkheimer:

: Pantagruel (1532) ; Traduction de Boccace : Complainte des tristes amours de Fiammette (1532) ; François Rabelais : Gargantua (1534) ; trad. Juan de Flores : La Déplourable fin de Flamète (traduction par Maurice Scève, 1535) ; trad. Baldassare Castiglione : Le Courtesan (1535) ; Hélisenne de Crenne (Marguerite de Briet) : Les Angoysses douloureuses qui procedent d’amours (1538) ; trad. Diego de San Pedro : Les Amours d’Arnalte et de Lucenda or L’amant mal traicté de s’amye (14 éditions

signes vestimentaires est garantie de droit et d'ordre: l'habit est investi en toute transparence d'un rôle socio-politique précis, d'auto affirmation pour les uns et de subordination pour les autres, fixant chacun à sa place..." Balthazar (Baldassare) Castiglione:[ L'homme en noir du portrait de Raphaël; il ne portait que du noir, ce qui lui donnait grande distinction et sobriété, tout en l'assurant de sa visibilité au milieu d'une cour chamarrée. ]: " Le courtisan doit réfléchir à ce qu'il veut paraître