Camaieu 23 Janvier 2007

Aperçu des activités Page 14 7. Organigramme du groupe au 31 décembre 2007 Page 16 8. Principales tendances récentes Page 17 9. Organes d’administration, de direction, de surveillance et de direction générale Page 17 10. Rémunérations et avantages Page 23 11. Renseignements de caractère général concernant le capital Page 24 12. Documents accessibles au public Page 28 13. Rapport du Directoire à l’Assemblée générale exercice 2007 Page 28 14. Rapport du Conseil de Surveillance à l’Assemblée générale

Cour de cassation chambre commerciale Audience publique du 23 janvier 2007 N° de pourvoi: 05-13189 Publié au bulletin Rejet M. Tricot , président Mme Collomp, conseiller apporteur M. Casorla, avocat général Me Capron, SCP Célice, Blancpain et Soltner, avocat(s) REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS Attendu, selon l’arrêt attaqué (Paris, 12 janvier 2005), qu’à la suite d’un premier litige de contrefaçon qui avait opposé la

Informations concernant l’émetteur 6. Aperçu des activités 7. Organigramme du groupe au 31 décembre 2007 8. Principales tendances récentes 9. Organes d’administration, de direction, de surveillance et de direction générale 10. Rémunérations et avantages 11. Renseignements de caractère général concernant le capital 12. Documents accessibles au public 13. Rapport du Directoire à l’Assemblée générale exercice 2007 14. Rapport du Conseil de Surveillance à l’Assemblée générale du 28 mai 2008 15. Rapport du Président

Commentaire d’arrêt Cour de cassation, Chambre commerciale, 23 janvier 2007, N°05-13-189 La prise en compte de la morale par le droit a toujours été une question sensible, tant au point doctrinal que jurisprudentiel. Comme dirait Bruno Oppetit, la morale, c’est le sentiment, « et le droit moderne n’intègre pas le sentiment dans ses concepts ». Et pourtant, qui peut nier de la complémentarité de la morale et du droit ? L’arrêt du 23 janvier 2007 rendu par la Chambre commerciale de la Cour de cassation

lieu de loi à ceux qui les ont faites. Elles ne peuvent être révoquées que de leur consentement mutuel […] ». Ici, la Cour de cassation donne une force obligatoire au délai imposé. I) La notion de contrat Commentaire d’arrêt Cass. Com. 23 janvier 2007 De nos jours, il existe toutes sortes de contrats entre commerçants, personnes, entreprises. Des entreprises peuvent décider de signer un accord afin que chacune s’oblige réciproquement à faire ou ne pas faire certaines choses. Ce genre d’accord

cette question qu’a répondue la Cour de cassation constituée en chambre commerciale le 23 janvier 2007. Dans cet arrêt, il s'agit premièrement d'un premier litige de contrefaçon entre des sociétés de prêt à porter, qui oppose la société Création Nelson aux concurrentes société Camaieu SA et Camaieu International. Au terme duquel les trois sociétés ont conclu un accord transactionnel où la société Camaieu International prend l'engagement de ne pas copier les produits commercialisés par la société

2 |Camaïeu-Labège | | | | | |Vendeuse 3 |Camaïeu-Labège | | | | | |Vendeuse 4 |Camaïeu-Labège | | | | | |Vendeuse 5 |Camaïeu-Labège | |

Rapport de stage fictif Camaïeu Rapport de stage fictif Camaïeu SOMMAIRE Introduction page 4 I) L’entreprise page 9 II) L’environnement et la stratégie de l’entreprise page 16 III) Expérience personnelle page 27 Conclusion page 30 Introduction Par sa notoriété, ses performances commerciales et son attention aux envies de ses clientes, l’entreprise Camaïeu a su trouver sa place parmi les enseignes préférées de millions

: Cour de Cassation, Civ. 1re, Audience publique du mardi 10 octobre 1995, No de pourvoi 93- 20.300, Publié au bulletin. Rejet (obligation civile et obligation naturelle) • Document n° 3 : Cour de Cassation, Com., Audience publique du mardi 23 janvier 2007, No de pourvoi 05- 13.189, Publié au bulletin. Rejet (contrat et engagement moral) • Document n° 4 : Code civil (version à partir du 1er octobre 2016), Articles 1100 à 1111-1, accompagné d'un extrait du Rapport au Président de la République

Thème 7 : LA CLAUSE DE NON CONCURRENCE Cass. Com. 20 février 2007, SARL Ecco Faits : la Sté danoise Ecco a cédé en 1998 la totalité du capital d’une filiale à la Sté Van Drunen. Pour autant, la Sté Ecco a continué à commercialiser en France des produits de la Sté Ecco jusqu’à ce que celle-ci résilie le contrat le 30 septembre 2000. Parallèlement, la Sté Ecco a constitué la SARL Ecco France distribution qu’elle a chargé de distribuer les produits Ecco auprès des clients français. Décision :