Chale

également par la parole, L’intervention de Frédéric pour récupérer le châle de la jeune femme déclenche ces simples mots : « Je vous remercie, Monsieur ». Différents sens participent donc de cette illumination : la vue, l’ouïe et même le toucher grâce au châle qui apparaît comme un objet plein de sensualité : « Elle avait dû, bien des fois[…] en envelopper sa taille, s’en couvrir les pieds, dormir dedans ». T oucher ce châle revêt pour Frédéric une importance particulière, car cet accessoire désigne

• Un dictionnaire des synonymes, proposant un lien vers un dictionnaire analogique, très beau à regarder. • Mais rien ne vaut l'aléatoire feuilletage découverte d'un dictionnaire papier... Par exemple, vous sont proposés : JOURNAL BANAL CHALE CANAL INFERNAL Et voilà quelques productions d’internautes écrivains Non Monsieur, je ne lis pas le journal dans votre dos, simplement je regardais votre journal et je pensais tiens c'est vrai qu'il y a le mot " journal "dans les mots du Jeu

Alice PEERE Seconde 2 Lyc ée Montchapet LE CHAT NOIR Mademoiselle Olympia sortit de derrière le paravent tout juste vêtue d’un châle épais qu’elle tenait autour d’elle. Ce châle dévoilait ses épaules rondes et douces, et sa peau semblait si lumineuse qu’on eût dit qu’elle était éclairée de l’intérieur tant elle semblait irradier. La bouche sèche, je serrai plus fort mon pinceau et m’efforçai de paraître professionnel. En réalité, rien ne m’intimidait plus que cette femme et cette peau irréelle

elle cherchait à s’étrangler avec son châle. — Si je meurs ; il vivra, disait-elle en tâchant vainement de serrer le nœud. Ses cheveux étaient épars, ses épaules nues, ses vêtements en désordre, et dans cette lutte avec la mort, les yeux en pleurs, le visage enflammé, se tordant sous un horrible désespoir, elle présentait à Raphaël, ivre d’amour, mille beautés qui augmentèrent son délire ; il se jeta sur elle avec la légèreté d’un oiseau de proie, brisa le châle, et voulut la prendre dans ses bras

1. La Table • On voit une table dont les quatre pieds sont sculptés de différentes façons. • Un polyèdre est présent sur la table ainsi qu’une tête semblable à celle qu’utilisent les coiffeurs. Sur cette tête il y a un châle qui ne la recouvre qu’à moitié, ce châle retombe dans le vide à mi-hauteur des pieds de la table. • Une main coupée au poignet est posée sur le côté, les doigts sont tendus. • À côté du polyèdre un petite coupelle est posée. • Le personnage tourne son regard

questions sur ce personnage '' qu'elle était son nom, sa demeure, son passé '' (l.25) , puis a partir '' du châle qui glisse '' (l.33), il imagine un scénario ce qui indique sa curiosité. Tout est considéré comme un mystère autour de cette femme rendue unique par la répétition du pronom '' elle '' . De plus les objets ordinaire qui entourent Mme Arnoux '' le panier a ouvrage '' (l.24), '' le châle '' (l.33) paraissent pour Frédéric des objets de qualités comme le montre les thermes '' ébahissement ''

se leva faisant apparaître une petite scène vide. On entendit des claquements des talons et des castagnettes. Immédiatement suivi par de rugissement des garçons. Ensuite une femme fit son entrée en scène. Elle s’enveloppait comme un torero dans un châle de Manille d’un vert vif et d’un jeune chrome. Sous les franges endormis, comme les branches d’un saule, elle apparaissait ; se découvrait avec la grâce rigide d’une corole de lys inversé, une jupe en soie d’un blanc mat, décorée avec des perles de

petits pois avec par-dessus sur son dos un long châle à bandes violettes, une ombrelle, un chapeau large de paille avec des rubans roses dessus. Elle a des bandeaux noirs dans les cheveux. Sa peau est brune, son visage est ovale et il comporte un nez très droit et de grands sourcils. Citations : « elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses » « Sa robe de mousseline claire tachetée de petits pois » « son nez droit » « Un long châle à bandes violettes était placé derrière son dos »

confitures. La fille aux cheveux de lin va porter ces présents a une grand-mère recluse, si vieille que le fardeau des ans l'écrase et va la tuer. Mère-grand habite à deux heures de marche pénible à travers le bois hivernal; l'enfant s'envellope dans son châle épais qu'elle tire pour le ramener sur sa tete. Elle chausse ses solides galoches de bois, la voilà prete et c'est la veille de Noè1. La porte maléfique du solstice balance encore sur ses gonds, mais la fillette a été trop aimée pour eprouver la moindre

splendeur de sa nudité. Celle-ci est allongée de tout son long sur un lit, elle semble prendre la pose. Sa main gauche est posée sur son sexe, on voit sans voir. Son corps voluptueux repose sur un châle jaunâtre ce qui est sans nul doute une allusion frappante à son statut, celui de courtisane. Car en effet le châle de cette couleur est un signe distinctif dans la profession. Son linge de lit est d’une blancheur éclatante se qui fait ressortir l’aspect blafard de sa peau. Certains éléments