Champs Lexical De La Lumière

dans les champs afin de trouver la paix et l’inspirationVerbes énumérés + métaphore : le poète vénère la nature comme une divinité, un dieu créateur c’est la source de son inspiration , crée un poème musical grâce aux rimes ici rime suffisantes CCP : Le poète aime passionnément la nature jusqu’à s’y réfugier et en faire un lieu de paix Mouv 2 (vers 3 à 10)CL de la vision : regards s’inversent, la nature l’observe lui. Ils s’observent entre eux - relation intime nature/poète champ lexical des couleurs

Fiche n°1 – « Le christianisme », de Diderot Introduction : Diderot est un écrivain né en 1713. Il appartient au groupe des Lumières. Les Lumières est un mouvement philosophique du 18ème siècle. Il est constitué de penseurs appelés les philosophes. Ces derniers ont pour but de conduire tous les hommes à la raison en les retirant de l’inconscience et de l’erreur. Les philosophes sont aussi de grands critiques, ils s’opposent principalement à l’église catholique, au régime en place, ainsi qu’aux

L’Heureux Naufrage Ce texte a été écrit au XVIII, en 1788 durant le siècles des Lumières. L’Heureux Naufrage est une pièce de théâtre du genre dramatique en prose, répartie en trois actes écrit et publié par Olympe de Gouges, une femme de lettres qui défend l’égalité et fait notamment partie du mouvement des Lumières. Dans cette scène d’introduction, Olympe de Gouge dénonce l’atrocité de l’esclavage et de l’inégalité des hommes dans les colonies à travers deux

de Zadig, le chapitre XV : le pêcheur Page 68, ligne 3 à 34 Introduction : Cet extrait du chapitre "Le Pêcheur" du conte philosophique Zadig de Voltaire, correspond aux péripéties de Zadig durant son aventure. L'histoire se passe à l'époque des Lumières au XVIII e S. Dans un registre pathétique, Voltaire nous fait part du malheur de la vie d'un pêcheur dans une thèse implicite. Problématique : Comment à travers l’histoire du pêcheur Voltaire construit une mise en abîme de l’histoire tout en marquant

nous observons une description d’un monde paradoxal. L’auteur nous montre un contraste entre la lumière et l’obscurité. Nous retrouvons le champ lexical de la lumière« resplendit » (l.16), « réchauffer »(18), « étoile » (l.29), « phosphorescence » (l.60).Ici le mot « resplendit » et « réchauffer » renforce un peu plus le statut d’Antigone en opposition au froid et l’obscurité de la tyrannie. Le champ lexical de l’obscurité est également présent dans le texte comme «nuit » (l.6), « l’ombre » (l.12), « les

demandant les caractéristiques de ce début de roman. Plan : I- Un incipit réaliste A- Une situation géographique précise B- La création d’une atmosphère II- Une perception subjective des lieux A- Une vision subjective B- Le champ lexical de la mort III- La fonction symbolique de l’extrait I- Un incipit réaliste A- Une situation géographique précise  Dans l’extrait, on peut remarquer que la description prend une fonction référentielle voire documentaire. La technique

type de texte explicatif (il explique tout ce qui se passe autour de lui). Il y a différents procédés. Figures de styles la personnification (cette eau qui coulait … une blessure qui saignait) la comparaison (comme une bête bêlante). Il y a le champ lexical de la nostalgie et de la tristesse. Nous pouvons y retrouver des indices de

la pensée du 18e siècle. Voltaire a ainsi rédigé un article sur cette notion dans son Dictionnaire Philosophique. Mais c’est à Damilaville, un auteur moins connu, qu’échoit l’écriture de cet article dans l’Encyclopédie, l’œuvre phare du siècle des Lumières. En effet, l’article « Paix » est autant une définition de cette idée que de son contraire à savoir la guerre. Tout l’article les lie. Néanmoins, c’est une féroce critique de la guerre et une défense virulente de la paix que se livre Damilaville

Radcliffe, auteur de roman gothique. [modifier]La mise en valeur du portrait Le portrait est mis en valeur avec une opposition entre l’ombre et la lumière. Cette mise en valeur rappelle le procédé du clair-obscur en peinture. On relève donc dans le texte deux champs lexicaux opposés : celui de l’ombre et celui de la lumière. L'ombre La lumière La nuit Candélabre Fermer les volets Les rayons de nombreuses bougies Le profond minuit Le flambeau Ombre profonde ... Grâce à ce contraste le

Ainsi donc une masse amorphe en train d'éructer fut glissée pour nous dans le four stellaire, où durcissant elle s'est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses... Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, - sans un regard pour la mollesse ignoble sous-jacente. Ce lâche et froid sous-sol que l'on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges : feuilles ou fleurs y sont comme des sœurs siamoises soudées