Champs Lexical De La Lumière

face aux humiliations que son entourage lui inflige. Maupassant utilise l’hyperbole (l14) « Son horrible infirmité » pour souligner le fait que l’aveugle ne peut se défendre. De plus, L’auteur utilise le champ lexical de l’infirmité tout au cours du récit « impotent, infirme » ce qui met en lumière la cécité de l’aveugle. Par ailleurs, Maupassant utilise un vocabulaire péjoratif pour désigner l’aveugle tel que « fainéant, nuisible, inutile » pour dévaloriser l’aveugle. Ainsi, on a pu voir que l’aveugle

Philosophe » qui a été publié dans le tome 1 de l’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, qui est le grand ouvrage collectif des Lumières qui avait été notamment dirigé par Diderot. L’ouvrage a pour but officiel de faire l’inventaire des connaissances dans toutes les matières (notamment techniques). Les Lumières se proposent de faire le point sur les connaissances dans toutes les matières pour vulgariser le savoir, le démocratiser. Le but officieux est de lutter contre

temps. Il décrit Tahiti comme une société dont les lois définies sont immuables. Cette opposition se marque également au niveau lexical : au « Pleurez, malheureux Tahitiens, pleurez » du vieillard s’oppose le champ lexical du bonheur propre à l’utopie décrite par Orou. Cohérence du discours d’Orou ? Le discours philosophique de Diderot se conçoit, dans l’esprit des Lumières, comme une éducation du lecteur à la réflexion. Il ne s’agit pas d’affirmer et de construire une théorie ou un modèle social

« Haillons comiques » L10, « Vouté, caduc » L6 * Champs lexical de la pauvreté * Antithèse « infortuné »Le S. est qualifié par plusieurs mots qui montrent sa condition : « le misérable », « l’infortuné »Le S. ne possède qu’une chandelle pour s’éclairer | « Les uns dépensaient, les autres gagnaient » * Parallélisme de construction * Antithèse« Partout la certitude du pain » L9 * Champs lexical de la richesse * « merveille »La fête est très éclairée, « Tout n’était que lumière », « éblouissant » | Le Désespoir

heureuse où il fait bon vivre malgré la dureté des temps. La campagne commence G dès les boulevards construits sur l'enceinte des Fermiers généraux ; le dôme des Invalides se dresse au milieu des champs ; à Saint-Germain-des-Prés, les maraîchers ont leurs jardins ; il est risqué de s'aventurer aux Champs-Élysées, la nuit, à cause de la solitude qui y règne et dont profitent les mauvais garçons et les filles, mais le dimanche, c'est la cohue ! On y va manger sur l 'herbe, à l'ombre des grands arbres

: supplément au voyage de Bougainville (début du chapitre 2, « les adieux du vieillard ») Introduction : Œuvre posthume publiée en 1796, le supplément au voyage de Bougainville est un exemple typique des idées du siècle des Lumières. En effet, les philosophes des Lumières font appel à la raison et à la connaissance pour tenter de sortir la société de l’obscurantisme religieux qui fonde son pouvoir sur la crainte et l’ignorance. Dans ce texte, initialement compte-rendu du voyage autour du monde

puissance des empires Perse et Ottoman fascine la France, donnant naissance au courant orientaliste dans tous les domaines artistiques. Galland introduit la mode en traduisant en 1711 « Les mille et une nuits » bien vite reprise par les philosophes des Lumières pour faire passer leurs idées comme Voltaire dans « Zadig » par exemple. D’Holbach, un des rédacteurs de l’Encyclopédie de d’Alembert et de Diderot semble se situer pleinement dans ce mouvement d’orientalisme philosophique lorsqu’il écrit en 1772

degré au suspense. Quand Pauline arrive enfin à avoir une vue sur le préau de la maison, Pauline rentre dans la bibliothèque sans lumière : « Je me rappelai alors que les fenêtres de la bibliothèque donnaient comme les miennes sur le préau, et par un de ces mouvements bizarres qui font succéder le plus grand courage à la plus grande faiblesse, j’y entrai sans lumière », nous pouvons remarquer que cette phrase fait monter le suspense, le lecteur a envie de savoir ce qu’elle va voir. Cette envie est

que cet évènement est achevé au moment de l’écriture, il évoque donc un évènement passé. · La description souligne par le pléonasme "bruits confus" (l.2)/"impossible à identifier" (l.2) créer une atmosphère mystérieuse de la pièce voisine. · Champ lexical de la demeure : « fenêtre »l 3,« terrasse » l3, »hall »l5, »pièce » l2, »salon » l7 : Décrire le cadre spatio temporel du personnage .Le narrateur est spectateur de ce qu’il entoure. · « suppliait de me joindre » l5  est une hyperbole qui donne

des tombaux » qui place les tombeaux comme plus confortables que « des divans profonds » soit la mort plus confortable que la vie. Malgré les deux champs lexicaux de ce poème, ces deux extrêmes cohabitent très bien. En effet, le champ lexical de l’amour avec « lits », « divans », « fleurs » apportent une ambiance douce et légère tandis que le champ lexical de la mort fait régner une ambiance froide et triste par l’utilisation des mots « tombeaux », « cieux », « longs sanglots », « miroirs ternis ».