Champs Lexical De La Lumière

De l’horrible danger de la lecture   Question (ou problématique)  En quoi ce texte est­il emblématique de la conception de l’homme selon les penseurs du siècle des Lumières ?  ou  ..........  ou  ..........    Proposition de plan     I. L’inspiration de l’Orient  II. Un texte polémique, un pamphlet  III. Un apologue des idées des Lumières      Plan détaillé    I. L’Orient    ème​ a. Le choix de l’Orient. Une fascination pour le XVII­XVIII​  siècle, volonté d’intéresser, de plaire.  b. Le lexique abondant

L’auteur amorce sa critique de la société , grâce à un registre épidictique qui fait son apparition : il met en lumière le contraste entre l'attitude immorale des passagers et leur appartenance à des sphères plus ou moins élevées de la société , qui laisse de premier abord à supposer une conduite honorable , d'où le paradoxe “mépris” “ sacrifiée” “rejetée , inutile” gradation champ lexical de l’indifférence L’attitude méprisante et condescendance des autres passagers est mise en relief , et l’auteur

destinées différentes de la sienne. Ce fantasme apparaît d’abord dans la répétition du mot « autre » : « elle se demanda s’il n’y aurait pas eu moyen, par d’autre combinaisons du hasard de rencontrer un autre homme ». Il s’exprime aussi à travers le champs lexical du changement « événement non survenus » « vies différentes » et l’emploi du mode conditionnel : « aurait eu » « eusses été ». Rêver sa vie, c’est aussi la rêver loin de Charles, désigné par le pronom péjoratif « celui-là ». Le portrait très

|Interprétation | |ou procédés d’écriture | | | |Champs lexicaux |« verdure » (v.1), « rivière » (v.1), « montagne » (v.3), «|États opposés | |Nature |rayons » (v.4), « val » (v.4), « cresson » (v.6)

douleur est si forte, le poète est perdu, il fait des confusions il associe les paysage de Milly a ceux des montagnes alpines ou il aima Elvire. Il y’a la présence de nombreux contrastes dans ce poème par exemple le contraste entre l’ombre et la lumière, « soleil » vers 2 et « obscur » vers 6, le contraste entre la splendeur et l’humilité « palais » et « chaumières » vers 25, le contraste entre la vie et la mort avec des verbes d’actions qui représentent la vie « je parcours » vers 23 et des expressions

réalité journalière vécue par les mineurs chaleur et humidité la température montait jusqu'à 35 degrés, chauffait, son supplice s'aggravait, brûler le sang,= champ lexical de la souffrance la chaleur, métaphore = chaleur qui devient torture. Ruisselaient d'eau, grosses gouttes, continues, rapides et fumant d'une buée de lessive = champ lexical de l'humidité = le lieu devient étuve, précision très réaliste du tourment enduré elles battaient sa face, s'écrasaient, claquaient = rythme ternaire et

4) Dans le poème de Paul Éluard, il utilise comme champ lexical celui du malheur « froid, faim, pauvres, affamés, pâleur, maigreur  » qui marque bien le désespoir. Il utilise la figure de style de l’anaphore qui donne un effet de répétition et rythme le poème afin de montrer la situation désastreuse de Paris lorsqu’il écrit : « Paris » vers 1, 2, 3 et 4 et « c'est » vers 8 et 9. Dans le poème de Robert Desnos, on retrouve le champ lexical de la douleur : « souffrant », « entorses », vers 3 et

qui oppose le condamné et la justice et la façon dont la sentence notre condamné comme une une défaite par K.O Et enfin si il ne ‘agit pas d’un combat implicite de Victor Hugo Un combat perdu d’avance entre le condamné et la foule * champs lexical oppression (ce peuple ce rua sur mes pas avec le fracas d’un édifice qui se démolit /ces hommes ces femmes ces enfants qui se pressaient sur mon passage /deux jeunes filles que me suivaient avec des yeux avides ) les exclamations * univers

Le fait que le mot « apologue » rassemble diverses formes littéraires et renvoie à plusieurs termes comme "fable", "proverbe", ou "conte" souligne une grande diversité de contenu et des modes de fonctionnement. De plus, il semble que le siècle des Lumières ait permis au conte, de se développer au maximum. C'était en effet la forme privilégiée d’une grande majorité d’écrivains comme Voltaire ou les frères Grimm. Cependant l'écriture de contes n'était pas réservée aux grands écrivains, et l'on trouve

I. Un espace de mise en scène A. L’importance de la description 1. Dès la première phrase, le regard est présent (" une apparition "), et le champ lexical de la vue s’étend sur tout l’extrait, concentrant toute l’attention sur l’inconnue : " il ne distingua ", " il la regarda ", " jamais il n’avait vu " ; chaque terme étant renforcé par l’emploi hyperbolique des adverbes " jamais " et " personne ". 2. Portrait statique de l’inconnue qui fait ressortir l’importance du personnage, " elle était "