Champs Lexical De La Lumière

 Pour le moment La vie est simple et gaie  Le soleil clair tinte avec un bruit doux  Le son des cloches s'est calmé  Ce matin la lumière traverse tout  Ma tête est une rampe allumée  Et la chambre où j'habite est enfin éclairée Un seul rayon suffit  Un seul éclat de rire  Ma joie qui secoue la maison  Retient ceux qui voudraient mourir  Par les notes de sa chanson Je chante faux  Ah que c'est drôle  Ma bouche est ouverte à tous les vents  Lance partout des notes folles  Qui sortent je ne sais comment 

par le champ lexical de la violence avec des mots comme « fureur » et « folles » (l.7.8) . Puis il montre que les européens sont des conquérants qui veulent tout s’approprier par le champ lexical du vol avec des mots comme « pillé » l.29 « vol » l.22 « emparer » l.26 . Ensuite il accuse les européens d’une loi qui leur est propre : la loi du plus du fort avec « ce pays est à nous » l.14 . Il condamne très fortement les européens de leur non repect de la personne humaine avec le champ lexical

sans censure et pour échapper a d’éventuelles poursuites. On retrouve parmi ces romans Les Liaisons Dangereuses de Choderlos de laclos qui, à travers son personnage, Mme de Merteuil, fait passer les valeurs du libertinage, ainsi que les idées des lumières. Dans l’extrait étudié, qui est la plus longue lettre de l’œuvre, le personnage Mme de Merteuil retrace avec théâtralité son parcours, son enfance et comment elle s’est auto instruite. I. Un personnage façonné par lui-même a) la confession

l’irruption d’un événement. Les champs lexicaux : -Il y a le champ lexical des couleurs : « noir » ; « argent pâle » ; « rougeâtre » ; « brun sombre » ; « gris » ; « blanchâtre » ; « rougeâtre » ; « brunes » ; « grises ». -Nous pouvons aussi constater la présence du champ lexical de la lumière : « crépuscule » ; « grandes ombres » ; « sombre » ; « crépuscule d’automne » ; « ombre » ; « lueurs » ; « sombres » ; « crépuscule » ; « brouillard laiteux ». La lumière sombre laisse un pressentiment

pour finir sur la vengeance de Mme Raquin. On remarque dans ce passage le rapprochement des deux meurtriers contrairement au reste du roman. En effet, on relève un champ lexical du regard : « dernier regard », « regard de remerciement » qui montre l‘insistance de Zola sur le regard de ses personnages. On remarque aussi un champ lexical de verbes de pensées et de sentiments où Thérèse et Laurent sont tous deux sujets : « songeant », « ils se sentirent », « ils éprouvèrent ». On comprend donc que Thérèse

pathétique, dans les quatrains, et laudatif, dans les tercets. Le poète décrit la condition de l’aveugle, privé de la lumière du jour ; mais la cécité semble également favoriser le développement d’une sensibilité particulière de laquelle résulte la suprématie des aveugles sur le commun des mortels. Le poème se déploie en deux temps à commencer par « D’innombrables rayons de toutes les lumières » jusqu’à « Ont pleuré vingt mille ans sous l’arceau des paupières » ; il se poursuit à travers l’évocation du

12-13) Zola utilise des comparaisons pour décrire le paysage. « Les deux rives […] étaient comme deux larges bandes qui allaient se rejoindre à l'horizon » (l.2-3) ; « L'eau et le ciel semblaient coupés dans la même étoffe blanchâtre. » (l.4). Le champ lexical de l'obscurité est aussi visible dans ce texte. « D'un brun sombre taché de gris » (l,2-3) ; « ombre » (l.9) ; « sombre » (l.12, 22) ; « taches brunes et grises » (l13-14) et « étroit » (l.22). Dans le deuxième extrait, la description de la nature

s’adresse au genre humain, au « peuples » et la portée de son discours est universelle. -Indices personnels : L’auteur apparaît sous la 3ème personne du singulier, avec le pronom en relief « lui » qui insiste sur sa dimension sacrée. LEXIQUE -Champs lexical « Sacré » Le texte renvoi à la poésie de Du Bellay qui fait la jonction entre le monde des vivants et le monde des morts. Le poète est celui qui rend accessible à l’Homme le message divin qui reste banal pour lui. Le poète joue donc le rôle d’intercesseur

livre. QUESTION Vous étudiez précisément le champ lexical de la vue et celui de la lumière dans cet extrait. Vous dîtes les métamorphoses qui s’opèrent dans le texte. Toutes vos remarques sont illustrées par des citations du texte. LECTURE EXPLOITATION Je propose les 2 axes de lecture suivants : - A ) La danse de Lalla à travers l’étude des 2 champs lexicaux de la vision et de la lumière - B ) Les métamorphoses qui s’ensuivent A ) Les 2 champs lexicaux dominants a ) J’examine l’orientation de la

votre reponse sur un ou plusieurs champs lexicaux (sentiments, sens, ex.....)(relevé les mots)("Elle est gaie et pensive , elle nous fait songer" de Victor Hugo (1802-1885))Le poète Victor Hugo exprime des sentiments passionnés et contradictoires dans ce poème. D'une part, il ressent une grande admiration pour la femme qu'il décrit, qui est à la fois gaie et pensive, belle et innocente, avec un regard doux et bleu. Le champ lexical de la beauté et de la lumière est présent tout au long du poème,