Chromosome homologue

génotype (a b / a b). Elle ne peut produire qu'un seul type de gamète (selon la règle déjà évoquée plus haut) : (a b). Le document 1 indique que les deux gènes sont sur deux paires de chromosomes. La F1 produit donc quatre types de gamètes équiprobables en raison de la répartition au hasard des chromosomes homologues à la première division de méiose (schéma conseillé, mais non exigé). Tableau de croisement des gamètes (les cases en traits pleins représentent les descendants F2 et sont équiprobables)

Par le même raisonnement, on peut dire que pour le gène de la couleur des yeux, l’allèle brun est dominant et sera noté B et l’allèle rouge récessif et noté r. Comme l’énoncé précise que les deux gènes sont indépendants et donc portés par des chromosomes différents, ce premier croisement peut s’écrire de la façon suivante en ce qui concerne les génotypes vg/vg r/r x L/L B/B. La descendance aura donc comme génotype L/vg B/r donc double hétérozygote et de phénotype [L B] Le second croisement entre

À partir des informations extraites des À partir des informations extraites des documents, mises en relation avec vos connaissances, expliquezÀ partir des informations extraites des documents, mises en relation avec vos connaissances, expliquez comment la méiose peut être source de variabilité génétique.À partir des informations extraites des documents, mises en relation avec vos connaissances, expliquez comment la méiose peut être source de variabilité génétique.vvvÀ partir des informations extraites

gamètes renferment 23 chromosomes = n chromosomes. Ils ne possèdent qu’un seul membre de chaque paire de chromosomes homologues. La méiose = mode de division propre aux gonocytes. C’est un type de division nucléaire particulier. Dans l’ensemble, se déroule seulement dans les gonades. La méiose aboutit a la formation des gamètes males et femelles. La méiose comprend 2 divisions cellulaires successives : Méiose 1 et Méiose 2, ce qui permet de réduire le nombre de chromosomes de 46 a 23. 1ère

précédentes : - chromosome constitué d’ADN, support de l’information génétique gène – allèle – notion de dominance/récessivité au niveau cellulaire et macroscopique caryotype identique pour tous les individus d’une même espèce caryotype identique pour toutes les cellules de l’organisme (sauf les cellules reproductrices) existence dans chaque cellule de paires de chromosomes portant les mêmes gènes mais pas forcément les mêmes allèles (donc génétiquement différents) maintien du nombre de chromosomes lors de

marquage) est sous la dépendance notamment de l’information génétique contenu dans les cellules constituant leur organisme. Cette information génétique est supportée par l’ADN (acide désoxyribonucléique) qui, associé à des protéines, constitue les chromosomes. L’information génétique est divisée en gènes (séquences codant pour des protéines) et en séquences non codantes (séquences de régulation). Un gène est donc une unité d’expression de l’information génétique. Chaque gène est défini par une séquence

se condense, ainsi les chromosomes s'individualisent et deviennent visibles (chromosomes à 2 chromatides). L'enveloppe du noyau disparaît. La cellule C représente une cellule en métaphase de mitose. En effet, les chromosomes, condensés au maximum, sont alignés au centre de la cellule ; tous les centromères se positionnent sur un même plan : le plan équatorial de la cellule. La cellule B correspond à une cellule en anaphase. À ce stade, les chromatides de chaque chromosome se séparent au niveau

les gènes. Ces gènes ne se mélangent pas entre eux et peuvent donc être transmis intacts aux générations suivantes. Ces gènes sont portés par leschromosomes. Comme les chromosomes vont généralement par paires, chaque gène est représenté deux fois dans une cellule, au même locus - c'est à dire à la même position - sur chacun des chromosomes. Deux gènes présents au même locus sont appelés allèles. Parfois, des génes ne sont pas transmis exactement à l'identique à la génération suivante. On dit que ces

 transmis  de  générations  en  générations  sont  contrôlés  par  les  gènes  :  pour  une  espèce   donnée,  les  éléments  transmis  d’une  génération  à  l’autre  sont  les  chromosomes  constitués  chacun  d’une  molécule  d’ADN   portant  différents  gènes.  L’évolution  des  phénotypes  qui  caractérise  l’évolution  des  espèces  doit  donc  reposer  sur  une

s'unissent au cours de la fécondation pour donner naissance à un nouvel individu. [Stabilité du génome -> le nombre de chromosome est conservé de génération en génération ainsi que le caractère de l'espèce.] L'alternance avec la formation des gamètes haploïdes (Cellules avec un seul lot de chromosomes) et fécondation forme une cellule diploïde (Cellule avec deux lots de chromosomes) ce qui est la base de la stabilité. Les mécanismes de la méiose, succession de 2 divisions cellulaires ce qui permet