Cognition sociale

de plaisir pour toute activité. Des symptômes physiques sont également apparents comme le trouble du sommeil, l’agressivité et la fatigue. On remarque également quelques facteurs plus subjectifs comme la dévalorisation le retrait ou l’indépendance sociale. Pour ce qui est du père, ce dernier instaure entre lui et ses deux enfants une dynamique bien différente. Il se trouve à être plus permissif avec Jérôme en lui laissant vaquer à ses plaisirs alors qu’il exige que sa fille dresse la table. Il fait

principes d’organisation humaines constitués par ailleurs, soit comme un lieu privilégié où se construisent, où émergent les formes sociales, cognitives et linguistiques.(...)Cette seconde perspective interactionnelle ou interactionniste (...) a été développée empiriquement dans plusieurs disciplines des sciences humaines. Elle conduit à des conceptions du langage et de la cognition qui ne sont pas focalisées sur la représentation de la référence (et donc le rapport entre les mots et les choses)(...) mais

psychologie cognitive, de la psychosociologie interculturelle et de la didactique des disciplines. Nous avons ainsi divisé ce volume en trois parties: 1) Piaget, les mécanismes de développement et les apprentissages scolaires ; 2) Piaget et les aspects sociaux des connaissances ; 3) Piaget et les didactiques. Dans la première partie, Lauren Resnick ouvre le débat sur les mécanismes du développement et des apprentissages, avec un essai d'intégration des théories qui portent sur les contraintes biologiques

l’expression « intelligence émotionnelle » et situent l’IE uniquement à l’intersection des cognitions et des émotions, ont depuis continué leurs recherches sur l’importance de ce concept (Mayer, Salovey, Caruso et Sitarenios, 2003). Ces auteurs soutiennent que les êtres varient dans leur capacité à traiter l’information d’une nature émotionnelle et leur capacité à établir un lien entre ce traitement émotionnel et la cognition générale. Ils posent ensuite l’hypothèse que cette capacité se manifeste dans certains

mesures (reposant sur des agrégats de mesures individuelles) ce qui tend à un biais d'anthropomorphisme ou une fallacie inter-niveau (Rousseau, 1985). D'autres (Spender; 1994; Laroche et Nioche, 1994) lui reprochent une tendance à la réification de la cognition. Laroche et Nioche (1994) ajoutent plus précisément à l'encontre des cartes qu'elles sont avant tout une métaphore et qu'elles ne peuvent "saisir des processus cognitifs aussi complexes que ceux en jeu dans les décisions", notamment de par le fait

été marquée, ces dernières années, par le développement de la clinique des troubles cognitifs. Ainsi, aux côtés des symptômes positifs (hallucinations, délires, langage incohérent, agissement bizarre, A.P.A., 1996) et des symptômes négatifs (retrait social, alogie, apathie, émoussement des affects, A.P.A., 1996) ont été mis en évidence des déficits cognitifs présents chez 75% des patients atteints de schizophrénie (Weickert & Goldberg, 2000) et considérés comme étant des troubles fondamentaux de la

psychologie clinique de l’activité cognitive, In M.-C. Mietkiewicz, S. Bouyer (éds), Où en est la psychologie clinique ?. Paris : L'Harmattan, 111-118. Éléments pour une psychologie clinique de l’activité cognitive Christian Brassac Équipe Codisant (COgnition DIstribuée dans les Systèmes Artificiels et NaTurels) Laboratoire de Psychologie de l’Interaction (LPI-GRC), Université Nancy 2 BP 33-97, 54015 Nancy Cedex Christian.Brassac@univ-nancy2.fr Introduction La question qui a motivé les organisateurs

UE 2.7 20/02/12 ------------------------------------------------- La maladie d’Alzheimer 1. Définitions : Cognition: Terme scientifique pour désigner les mécanismes de la pensée. Mémoire: C'est la fonction qui permet de capter, coder, conserver et restituer les stimulations et les informations que nous percevons. Démence : Est une réduction acquise des capacités cognitives suffisamment importante pour retentir sur la vie de la personne et entraîner une perte d'autonomie.

repérer les émotions par les pensées ou les cognitions, les sensations biologiques, les tendances à l’action ou encore les modifications expressives et comportementales. L’identification des émotions d’autrui se fait pour l’état de nos relations avec autrui, les besoins et les attentes de l’interlocuteur, l’état de l’environnement, le renforcement ou le découragement des comportements. Il se fait parce que l’homme est un être social, il sert de support social, de rôle protecteur physique et mental

La perception sociale | Elise Darras, Huygelier Stéphanie | I / La perception sociale Bien que la notion que nous avons à présenter soit celle de la perception sociale, il nous semblait judicieux de faire la distinction entre la cognition sociale et la perception sociale. la cognition sociale renvoie de manière plus générale à la façon dont nous analysons et interprétons notre environnement sociale. la perception sociale concerne plus particulière la façon dont nous percevons