Compagnie des îles d'Amérique

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été évacué. Henry Hudson avait besoin d'eau douce, il va alors faire escale dans la baie de New York. Comme beaucoup de ville dans le monde, New York est installée sur des îles, il y a beaucoup de ports de mouillage comme Manhattan, Staten Island ou encore Long Island. Il y a en plus de ces îles une grande quantité de petite îles, dont celles qui sont les portes d'entrées des immigrants comme Ellis Island, Roosevelt Island mais aussi Liberty Island. Une seule partie de la ville est continentale, c'est

moitié de la population mondiale, de façon constante. L’accroissement de la population mondiale est exponentiel. À partir de la fin du XVème siècle, les flux migratoires transforment la carte du peuplement mondial (décolonisation des peuplements d’Amériques). La création d’Empires coloniaux, Anglais, Français, Néerlandais et Portugais s’accompagnent de l’envoie de missionnaires et de Colomb. Entre le XVIème et le XVIIIème, deux millions d’Espagnol, 2 millions de Britanniques, 900 000 Portugais, 200

concernés des droits exclusifs en matière d’exploitation, eploration, et gestion de ressources naturelles. Les plus petites iles peuvent permettre à un Etat d’étendre son domaine maritime considérablement. Par exemple, l’île de Clipperton est un atoll corallien de 2 km² appartenant à la France. Cette possession lui permet d’obtenir un domaine maritime de 435000 km². Il en va de même des Iles Eparses constituées de 5 îilots inhabités de 1 a 30 km2 qui lui offfre une ZEE de 700000km2 environ. Ainsi est démontré

représente les transports maritimes, effectués désormais par de « gigantesques porte-conteneurs » (L. 11) (apparus en 1956). Un seul porte-conteneur peut acheminer jusqu’à environ 3000 conteneurs, et un seul conteneur représente en moyenne 33 m³. Les compagnies de transport maritime peuvent donc proposer des prix très abordables. Par exemple, un trajet Marseille - Avignon en camion coûtera plus cher, à volume égal, qu’un trajet Chine - France en bateau.Les routes maritimes sont ainsi devenues extrêmement

Feu et pour les seconds, sa partie orientale. Le deuxième groupe est composé des deux autres peuples de pêcheurs en canoë, les Yámanas et les Alakalufs, ou mangeurs de moules, qui vivaient le long des rives des canaux de Terre de Feu ainsi que de ses îles. Ces peuples peu nombreux étaient des nomades chasseurs-cueilleurs. On retrouve des traces archéologiques sur la partie côtière du parc national laissées par les Yamanas, appelées « conchales » ou « concheros ». Ces amas de coquillages sont des monticules

française 5 DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE ET DEPENDANCE AU CARBONE I. Contexte Le tourisme représente aujourd’hui 9% du PIB de la Polynésie française, ce qui est moins élevé que la place qu’il occupe dans des destinations concurrentes (Maldives, Iles Cook…), en raison du poids des transferts de la métropole. Après un fort développement jusque dans les années 2000, dû à l’amélioration des conditions de la desserte aérienne, à l’extension du parc hôtelier classé ainsi qu’aux différentes politiques

Alexandre VI une bulle, Inter Coetera, en mai 1493 qui déclare espagnoles « toutes les terres fermes ou îles découvertes ou à découvrir » au-delà d’une ligne allant de pôle à pôle et passant à 100 lieues à l’ouest des Açores. Mais le 7 juin 1494, s’estimant lésé, le roi Jean II du Portugal obtient par le traité hispano-portugais de Tordesillas que cette ligne soit reportée à 370 lieues des îles du Cap vert. Ce premier voyage est connu grâce au journal de Colomb dont il ne reste que des copies

derniers avaient créé dans la région (Transvaal et l’Etat libre d’Orange) dans l’Union sud africaine, créé en 1910 avec le statut de dominion. Au nombre des possessions britanniques figuraient également des îles et des archipels disséminés sur toutes les mers : Jamaïque, la Trinité et d’autres îles antillaises, Sainte Hélène, l’île Maurice, Zanzibar, les Seychelles. Notons enfin que par le biais de son Empire, la Grande-Bretagne contrôle alors les routes maritimes stratégiques ( Gibraltar, Le Cap,

intendants des iles Françaises sur les pratiques juridiques et coutumières touchant aux esclaves dans ces régions, surement dans un désir de cohérence et de non bouleversement d’avec ce qui était alors d’usage en ces lieux. Ce Code sera appliqué seulement dans les îles françaises des Antilles, de Guyane et du Bourbon, la pratique de l’esclavage étant interdite sur le domaine royal français ainsi que dans ses colonies continentales d’Amérique du Nord ; malgré le fait que ces îles aient été rachetées