Comparer Platon Kant

elle diminue les valeurs adverses pour faire croire à la grandeur des siennes ; c'est une morale de dévalorisation, fondée sur le ressentiment. La seconde est à l'inverse positive et s'en tient à affirmer ses propres valeurs, absolument, sans les comparer à d'autres ; elle dit ce qu'elle croit bon, sans rien déprécier, en ajoutant que tout est bon pour elle ; c'est une morale de la grandeur, de la générosité, fondée sur l'amour de soi et la création. Nietzsche illustre cette distinction par une parabole

exposer un objet du point de vue de l’artiste. Tout cela pour dire que contrairement a Platon, Aristote pense que l’imitation ne dégrade pas son objet mais nous apprend sur l’artiste qui le représente. Citation : « On se plait en effet a regarder les images car leur contemplation apporte un enseignement et permet de se rendre compte de ce qu’est chaque chose » * Critique de la faculté de juger, Kant Synthèse : Kant distingue la beauté naturelle de la beauté artistique. Pour lui la beauté naturelle

au beau artistique qui ne peut qu’en dériver (justement crée une « nouvelle nature » peut être vu comme moche puisque inconnue). Selon, Platon, l’artiste produit effectivement des copies de la nature. Dans la République, Socrate évoque Homère «  capable par son habileté de prendre toutes les formes et de toutes les imiter » ( pd forme dans nature). Pb pour Platon : l’artiste ne saisit pas l’essence de la nature mais seulement ses apparences sensibles, du coup il condamne « l’art du simulacre » ou

 » Malebranche, De la recherche de la vérité.               Débutons en exposant la conception métaphysique (dogmatique) de la vérité, dont il faut reconnaître qu’elle n’est pas étrangère à la diffusion de la confusion de la vérité et de la réalité. En effet, Platon pense la vérité comme indépendante de la pensée et du discours. Il y a selon lui une réalité vraie qui ne s’oppose pas tant à une « réalité fausse » qu’à une réalité dégradée et aux apparences qui la constituent. Le monde sensible, auquel nous sommes

la recherche de la vérité. Débutons en exposant la conception métaphysique (dogmatique) de la vérité, dont il faut reconnaître qu’elle n’est pas étrangère à la diffusion de la confusion de la vérité et de la réalité. En effet, Platon pense la vérité comme indépendante de la pensée et du discours. Il y a selon lui une réalité vraie qui ne s’oppose pas tant à une « réalité fausse » qu’à une réalité dégradée et aux apparences qui la constituent. Le monde sensible, auquel nous sommes

connaître pourrait-il être éveillé et mis en action, si ce n’est par des objets qui frappent nos sens et qui, d’une part, produisent par eux-mêmes des représentations et d’autre part, mettent en mouvement notre faculté intellectuelle, afin qu’elle compare, lie ou sépare ces représentations, et travaille ainsi la matière brute des impressions sensibles pour en tirer une connaissance des objets, celle qu’on nomme l’expérience? Ainsi, chronologiquement, aucune connaissance ne précède en nous l’expérience

peut-on pas penser une croyance rationnelle qui permettrait par exemple de concilier foi et science ? I La raison exclut-elle la croyance ? I.1 L'émergence du discours rationnel passe par l'opposition à la croyance. Cf Allégorie de la caverne où Platon montre que le monde de la croyance c'est d'abord le monde de l'opinion (celui de l'expérience sensible première où nous croyons que le ciel est bleu, le soleil tourne autour de la Terre et que les espèces ont toujours existé telles qu'elles sont)

pensait la bravoure, au moins nécessairement, différemment, et la bravoure athénienne, si s'en rapprochant, ne faisait que s'en rapprocher. Aujourd'hui, l'on peut tout aussi bien montrer l'inexistence de valeurs absolues, comme la justice: il suffit de comparer les sociétés chinoises et françaises, entre autre, pour voir toutes les différences qui existent et qui empêchent les notions de valeurs et d'absolu de coexister. Il en va de même au niveau des époques. Les valeurs sont sans cesse changeantes

On se laisse ici conduire, mener, par la majorité. Dans un premier, le fait de penser seul va être développé, suivis de la manière dont penser seul c’est aussi penser grâce aux autres et enfin, les obstacles de la pensée solitaire. Comme le dis Kant dans La critique de la faculté de juger, le fait de penser par soi même est « la maxime d’un esprit libre de préjugés ». En effet, le fait de penser par soi même résulte de la non écoute des opinions étrangères, c'est-à-dire qu’une personne pensant

c'est bien plus que sa il sert à convaincre . Puisque comme le définit Platon dans le Gorgias où il mettait en garde les Athéniens contre les Sophistes qu'il considérait comme des beaux parleurs , capables d'étayer n'importe quelle thèse grâce à leur maîtrise du discours . Le sophiste possède le pouvoir de séduire les foules où l'art rhétorique en tant qu'art de la persuasion est un moyen d'accéder au pouvoir . Platon compare donc le Sophiste à un pâtissier et le philosophe à un diététicien , tous