Concile œcuménique

les fidèles s’étant livrés à la vente de produits considérés comme stratégiques aux musulmans. Le texte le plus explicite, à cet effet, reste le canon 24 du concile de Latran II en 1779 (voire document ci-dessous), repris lors du concile de Latran IV en 1215. L’interdiction pontificale du commerce avec les Infidèles d’après le canon 24 du concile de Latran III (1179) « Certains hommes sont pris d’une cupidité meurtrière : se glorifiant d’être des chrétiens, ils n’en livrent pas moins aux Sarrasins

influence sur l’Eglise. Il a la main mise sur les nominations et les décisions des évêques. Il existait trois branches au sein de ce mouvement, le gallicanisme ecclésiastique, aussi appelé gallicanisme théologique, qui estimait que les décisions du concile œcuménique, les évêques, prévalaient sur l’avis du Pape ; le gallicanisme royal qui revendiquait l’indépendance absolue du roi de France par rapport à Rome dans toutes les affaires temporelles ; et enfin, le gallicanisme parlementaire qui prônait la subordination

de l’homme. Et tout en constituant une des réponses à son besoin inné, il apporte une bonne mesure de la vitalité de la société ecclésiale. Ici aussi, les évolutions ont existé, rapides et profondes, avant leur couronnement par l’empreinte du Concile Vatican II.  « Nous assistons continuellement au phénomène de groupes plus ou moins vaste de fidèles qui, par un mystérieux élan de l’Esprit, furent poussés spontanément à s’associer afin de poursuivre des objectifs déterminés de charité ou de

fois l’inspiration de l'ancien et du nouveau testament. I- Les canons et les décrétales Les canons ont donné leur nom au droit canonique. Ils correspondent au droit élaboré par les conciles, par des assemblées d’évêques, soit sous la forme de concile œcuménique ou universel, soit sous la forme de conciles particuliers, nationaux, régionaux, provinciaux. Ces assemblées édictent donc des règles qui peuvent avoir un aspect juridique. L’Église élabore des décrétales. Ils correspondent à des lettres

jadis à Pépin le Bref. Tassilon est déposé l'année suivante pour connivence avec les Avars – peuple d'origine turque établi au centre du bassin danubien; en 794 il est en outre contraint de renoncer à tous ses droits et à ceux de sa dynastie lors du concile de Francfort. Charlemagne est alors seul maître en Bavière. Cette annexion fait des Avars les voisins directs des Francs. Dès 791 commence donc une série de campagnes contre eux dans le but de protéger le royaume. En 796 c'est la victoire, en particulier

d'une norme valable à l'ensemble des chrétiens, et plusieurs conciles dit œcuménique qui sont chargés d'établir un Dogme. Et le grand Concile en 325 à Nicée, qui définit le dogme et dont le grand fondement qui sera la Trinité (voir pdf Le credo). Chose importante c'est que le credo stipule que le non respect de ce dogme fait que l'on n'est pas chrétiens et donc sommes susceptible d'être banni de la communauté des chrétiens. Et en 380 le Concile de Thessalonique impose la religion chrétienne comme seul

gallicanisme affirme la spécificité française, et rejette une trop grande intervention du pape dans les affaires de l'Église de France. Il reconnaît au pape une primauté spirituelle et juridictionnelle, mais conteste sa toute-puissance, au bénéfice des conciles généraux dans l'Église, des évêques dans leurs diocèses et des souverains dans leurs États. Les origines du gallicanisme remontent au premier conflit entre le roi Philippe le Bel et le pape Boniface VIII à la fin du XIIIe s. La défaite de Boniface

dénoncera le culte de l’h, le matérialisme, l’utilitarisme, ind’isme, oubli des valeurs de justice et de communauté. LES PREMIERS CONCILES Un concile (du latin concilium, assemblée), ou synode (du grec sun-odos = chemin commun), est une assemblée d'évêques de l'Église catholique (romaine ou non) ou orthodoxe Christianisme devenu religion d’Etat en 313, conciles œcuméniques tranchent les q° controversées : la théologie chrétienne dont ils construisent le dogme, mais des conceptions anthropologiques

l'Eglise sur le corps humain. En définitive, c'est un message qui a marqué tout ce pontificat et que l'on ne peut pas ignorer. Le pape précise d'ailleurs que sans cette théologie du corps on ne peut pas comprendre l'enseignement de l'Eglise après le Concile Vatican II sur la vie et la famille.

long de la période.  D’abord excellente, des membres de l’Opus Dei remplacent progressivement les Phalangistes. Ils mènent une politique de technocrate, libéralisant les pays à la fin de la décennie 50.  Les relations se compliquent après le concile Vatican II (1962), une opposition humaniste et religieuse se formant au pays Basque notamment.  Comme pour tout le pays, le clergé est dans un premier temps choqué par les exactions républicaines de la guerre civile, avant de se scinder entre le