Concile œcuménique

théologiques et de l’activité des conciles. Ce qui reste presqu’inaperçu, et moins encore souligné par les chercheurs, c’est le fait que l’histoire de toute hérésie byzantine comprend sa formation, sa propagation et son désapprouvement, le dernier étant assez souvent précédé et/ou suivi par une période, plus ou moins longue, pendant laquelle „l’hérésie“ est admise comme dogme officiel de l’Eglise. Ceci est valable aussi pour la dernière „hérésie“ byzantine condamnée par un concile en 1342 – l’Hésychasme

rendent célèbre la sainteté de la Notre Dame, mais croient qu'elle était faite naître avec le péché originel, comme tous les gens. L'Eglise orthodoxe prend les décisions seulement de premiers sept Conciles oecuméniques, pendant que l'église catholique se guide par les décisions de 21ème Concile oecuménique. Malgré les différences, les catholiques et les orthodoxes proclament et prêchent dans le monde entier une foi et une doctrine de Jésus-Christ.

Les conversions de plus en plus de rois se font et avec eux la réjouissance du peuple qui voit leur souverain porter la même croyance qu’eux. Ces conversions qui rendent l’autorité des évêques plus fleurissante. Par la suite à travers les conciles (assemblées des évêques) qui nous montrent comment les évêques sont choisi : par les clercs. Les cultes proposés par les évêques étaient aussi un bon moyen pour mettre le peuple sous la botte des rois en utilisant les évêques comme interlocuteurs

prophétisait l'Ancien Testament, et, hormis quelques minorités, qu'il est le fils de Dieu, à la fois de nature divine et de nature humaine. Les trois principales confessions chrétiennes, c'est-à-dire les catholiques romains, les orthodoxes des 7 conciles et les protestants, étudient l'interprétation patristique des textes scripturaires. La Bible hébraïque est l'un des deux textes fondateurs du christianisme, qui la nomme Ancien Testament ou Premier Testament[7]. Le Nouveau Testament, centré sur

Commission Biblique Pontificale et surtout par la Constitution Dogmatique Dei Verbum du Concile Vatican II (18 nov. 1965). La fécondité de cette attitude constructive s’est manifestée d’une manière indéniable. Les études bibliques ont pris un essor remarquable dans l’Église catholique et leur valeur scientifique a été reconnue de plus en plus dans le monde des savants et parmi les fidèles. Le dialogue œcuménique en a été considérablement facilité. L’influence de la Bible sur la théologie s’est approfondie

et non juifs. éclate au grand jour. Comme les juis sont majoritairement au début, ils veulent imposer leurs pratiques mosaïques. Saint Paul refuse, notamment pour la circoncision. Saint Paul rentre à Jérusalem pour expliquer ses choix. 48-49 : Concile de Jérusalem → envoi de la 1ère lettre apostolique à la communauté d'Antioche (qui avait contraint Saint Paul de venir à Jérusalem) Saint Paul vient justifier sa position à Jérusalem où Saint Pierre et Saint Jacques le mineur y jouent le rôle de conciliateurs

Autorité du pape : père de la chrétienté car il est a Rome -> primoter pontifical. source importante -> décrétal (ce qui viens de la décision du pape) * Autorité des conciles :(nationaux,général,provinciaux) assemblée d’évêque sous l’autorité d’un des 3 types de concile. Concile de Nicée en 325 -> 1° source de droit canonique (œcuménique) = source de droit Canon * Autorité des évêques : autorité espicopal ->statut episcopo. Il constitue le haut clergé (curé -> bas clergé) 2- Source jusrisprudencielle

chrétien remontant aux évangiles. Il s’agit du dogme de la trinité. Lors du 1e concile de Nicée en 325, il est annoncé la phrase suivante : « Nous croyons en l'Esprit-Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie, qui procède du Père, etc ». La première modification occidentale a lieu en Espagne après le concile de Tolède, cela devient alors « qui procède du père et du fils ». Le filioque va être validé par un concile, puis Charlemagne l’imposera. Là est la première vraie différence théologique.

prophétisait l'Ancien Testament, et, hormis quelques minorités, qu'il est le fils de Dieu, à la fois de nature divine et de nature humaine. Les trois principales confessions chrétiennes, c'est-à-dire les catholiques romains, les orthodoxes des 7 conciles et les protestants, étudient l'interprétation patristique des textes scripturaires. La Bible hébraïque est l'un des deux textes fondateurs du christianisme, qui la nomme Ancien Testament ou Premier Testament[7]. Le Nouveau Testament, centré sur

l'autorité qui le promulgue. Les conciles des premiers siècles statuèrent dans ce cadre sur des questions de christologie. La nature juridique du dogme remonte à la crise arienne[2]. Auparavant, les conciles sont locaux : ce sont des tribunaux où l'on juge les minoritaires, tel celui de Hiérapolis qui avait exclu Montan en 175. Avec la crise arienne au lieu d'être local (assorti de conséquences locales) le concile, par la volonté de l'empereur, devient « œcuménique » et les conséquences s'étendent