Concile plébéien

gallicanisme affirme la spécificité française, et rejette une trop grande intervention du pape dans les affaires de l'Église de France. Il reconnaît au pape une primauté spirituelle et juridictionnelle, mais conteste sa toute-puissance, au bénéfice des conciles généraux dans l'Église, des évêques dans leurs diocèses et des souverains dans leurs États. Les origines du gallicanisme remontent au premier conflit entre le roi Philippe le Bel et le pape Boniface VIII à la fin du XIIIe s. La défaite de Boniface

b) La religion orthodoxe Cette religion est née du schisme de 1054 qui marque la séparation avec l’Eglise d’occident catholique. Orthodoxie : nom donné à l’Eglise chrétienne d’orient qui se réfère aux décisions des Conciles de l’Eglise primitive (Nicée 325). Concile : réunion des autorités chrétiennes afin d’établir des règles et des lois. Cette Eglise est dirigée par le patriarche de Constantinople et celui-ci est désigné par l’empereur. Christianisme Orthodoxe catholique protestant

terrestre, carrefour Asie-Europe C’est cette position stratégique qui fait force de l’Empire byzantin Constantinople = cité la plus peuplée d’Orient et rapidement de tout l’Empire (400 ou 500 000 habs. mi-Ve). 325 : Concile de Nicée, premier concile oecuménique = 1e concile oecuménique (universel), convoqué par l'empereur Constantin pour donner une solution à la controverse née des opinions du prêtre Arius d'Alexandrie, condamnées en 318 => patriarches de l’Empire débattent en présence de

être conciliable avec le maniement des choses saintes. Au 5ème siècle, le pape fait de cet usage une règle pour les clercs majeurs, évêques, prêtres et diacres. La règle sera plus ou moins exactement observée, et sera périodiquement rappelée par des conciles régionaux. D'autre part, à partir de Charlemagne surtout, le développement des écoles épiscopales et monastiques amène des jeunes gens directement à la cléricature, avant toute perspective de mariage, et la règle, commune celle-ci à l'Orient et à

seculier (vit dans le siècle) et clergé régulier. Controler la dévotion et la pratique religieuse quotidienne --> dimension temporel et spacial (question des échelles : Un continent, un pays, une ville), soucis du pape relié par les évêques par le concile de Trente --> hiéarchie. Façon d'encadrer : conscience religieuse (croire ou pas croire), empêcher les déviances : contrainte ou par soi (baton ou la carotte). Limite : jusqu'où est-on encadrer? Encadrement sacré --> politique. Fidèle : personne

serment de fidélité au même titre que les comtes. C’est également le roi qui nomme les abbés, les évêques et même le Pape. L’Etat se permet également des interventions dogmatiques, puisque c’est l’empereur qui convoque les conciles, en 816, Louis le Pieux convoque le concile d’Aix lors duquel il décrète l’organisation de chapitres de chanoines. L’Etat multiplie également les constructions de paroisse puisque l’Eglise est en quelque sorte la protectrice de la famille royale, les ecclésiastiques prient

d’évêques que l'on appelle les conciles qui vont prendre des décisions. L'organisation de l'empire romain va influencer largement l'organisation de l'église catholique. Les évêques les plus anciens sont à la tête d'un échevet qui correspond à une circonscription (province) romaine. Le pape va créer un certain nombre de décisions et un certains nombre de règles. Les décisions que prend le pape s'appelle des « DECRETALES ». Les décisions prisent par les conciles s'appelle les « CANONS ». Le droit

entre les croyants. Les grandes décisions sont prises lors des conciles (réunion des évêques du monde). Les orthodoxes : se sont séparés des catholiques en 1054 (schisme d’Orient), suite aux difficultés rencontrées dans les rapports entre Orient et Occident. On les trouve essentiellement en Orient. Ils sont très proches des catholiques, mais ils ne reconnaissent pas l’autorité du pape. Les grandes décisions sont prises en concile. Les protestants : sont apparus plus récemment en Occident. Ce

institution ecclésiastique, aspects de la foi chrétienne. Vocabulaire : Abbaye, abbé, moine, règle de Saint Benoît, Cluny, paix de Dieu, réforme grégorienne, clergé/laïcs, organisation de l’Eglise, seigneur féodal, redevances. Hérésie, croisade, dogme, concile. Documents proposés à l’exploitation pédagogique Photographie aérienne ou image satellite et carte (Géoportail ou Google earth), plans et photo de l’abbaye. Textes. Contextualisation : Cartes des implantations bénédictines (et/ou cisterciennes)

carolingiens, tel le capitulaire de 884 par lequel le roi Carloman alourdit les sanctions contre les rapines et demande aux évêques de les réprimer, ou le concile de Trosly de 909 qui exhorte à la pénitence et a recours à l'anathème, les autorités religieuses du centre de la France imposent la Paix de Dieu. Les évêques et abbés réunissent des conciles qui condamnent les débordements des chevaliers et tentent de moraliser leur conduite. Ce mouvement eut une très grande importance car il aboutit à la définition