Constitution française du 3 septembre 1791

D DA AN NS SL LA A CO ON NS ST TIIT TU UT TIIO ON ND DU U 3 SE EP PT TE EM MB BR RE E 1791 Date de création du document : année universitaire 2009/2010 Consultez les autres fiches sur le site de la FDV : http://fdv.univ-lyon3.fr 2 PLLAANN PPRRO OP PO OS SE E I) UNNEE O OM MN NIIP PR RE ES SE EN NC CE EA AP PP PA AR RE EN NT TE ED DU UR RO OII D L C D 3 DA AN NS S LA A CO ON NS ST TIIT TU UT TIIO ON N DU U SEEPPTTEEM MB BR RE E 1791 A A)) L LEE RRO OII D DE ETTE EN NTTE EU UR R D DU U P PO OU

27 de la constitution de la Vème republique en 1958 , precise que tout mandat impératif est nul , le droit de vote des menbres est personel. Selon Edmund Burke en 1774 : " le parlement n'est pas un congrés d'ambassadeurs representants des interets divers et hostiles , c'est l'assemblée deliberante d'une nation n'ayant qu'un seul et même interet en vue de la nation " . C'est donc l'assemblée et non les elus qui exercent la souveraineté nationale. Il est ecrit dans la constitution de 1791 " les representants

éphémère des institutions de l'histoire de France. Elle dure de 1791 à 1792 et prend place au début de la Révolution française, et est une étape entre la monarchie absolue et la République. Le 4 septembre 1791, en acceptant la Constitution élaborée par les membres de la Constituante, c'est-à-dire de la Constitution de 1791, Louis XVI fait passer la France d'une monarchie absolue à une monarchie constitutionnelle. Cette constitution abolit la notion de droit divin qui donnait au roi un pouvoir absolu

des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 Aout 1789, qui devait, tout en précédant la Constitution, en énoncer les principes fondateurs. Les lois des 16 et 24 Aout 1790 feront alors apparaitre les rudiments d’une justice plus légale et égalitaire, protégeant les libertés et conférant à l’individu une position décisive, encore accentuée dans la future Constitution, qui sera définitivement votée le 3 Septembre 1791. Quels sont alors les principes et les institutions novatrices que la Constituante

L’immobilisme de l’Ancien Régime La société française sous l’Ancien régime, caractérisée par sa division en ordres et son imprégnation religieuse, était-elle aussi figée que ses cadres juridiques le laissaient supposer ? I – Une société figée dans des principes d’un autre temps A – L’esprit du siècle : des aspirations nouvelles dans un cadre figé B – La réforme de l’Ancien Régime : des échecs répétés II – Le dynamisme méconnu de la société d’Ancien Régime A – Une participation forte à la chose publique

l'égalité de tous les citoyens devant la loi. La Loi de chapelier de 1791 instaurant la liberté d'entreprise, de commerce et de travail vient confirmer cette tendance. La constitution civile du clergé de juillet 1790 place l'Eglise sous l'autorité de l'Etat avec une nationalisation de leurs biens pour permettre aux députés de payer leurs dettes. Cependant, un nouveau cadre politique et administratif prend place avec la constitution de 1791 qui mets en place la Monarchie constitutionnelle. Les députés

Avant 1789 le roi est l’autorité suprême, après 1791 il n’y aucune autorité suprême à la loi. C’est l’apparition du principe de souveraineté nationale selon lequel le roi est le représentant de la Nation et exerce son pouvoir dans cet unique but. Dans un régime monarchique c’est-à-dire dans un mode de gouvernement ou le personnage le plus important tire son pouvoir de sa seule naissance, le pouvoir est héréditaire. Dans la constitution de 1791 que l’on peut définir de deux manière, selon la définition

SUJET : La notion de représentant dans la constitution de 1791 En France, le 20 juin 1791, le serment de jeu de paume est prononcé ; les constituants de l’Assemblée Nationale jurent de ne pas se séparer avant de donner une constitution à la France. Ainsi ce serment mènera à la fusion des trois ordres en une « Assemblée Constituante », ce qui donnera lieu le 4 août 1789 à l’abolition de a féodalité, puis le 26 août 1789, à la Déclaration des droits de l’Homme

LES INSTITUTIONS DE LA FRANCE A LA VEILLE DE LA REVOLUTION CHAPITRE 1. LA SOCIETE D’ANCIEN REGIME SECTION 1. Une société catholique §1. L’unicité de la foi §2. Le rôle social de l’Eglise §1. Le Clergé §2. La Noblesse §3. Le Tiers-état SECTION 2. Une société d’ordres SECTION 3. Une société de corps CHAPITRE 2. LA MONARCHIE ABSOLUE SECTION 1. Les principes du gouvernement monarchique §1. Les fondements du pouvoir royal §2. L’absolutisme monarchique A. La légitimité religieuse de la fonction

personne humaine. Cependant, il ne dit pas comment subordonner le législatif à la volonté du peuple. C. Montesquieu 1748 : « L’esprit des Lois » C’est un admirateur de la société anglaise de son temps. Depuis Aristote, on sait qu’il existe 3 fonctions dans l’Etat : le pouvoir législatif qui fabrique de la norme, l’exécutif qui exécute les lois, et le judiciaire qui juge les manquements aux lois. Montesquieu va reprendre cette distinction. Il se range du côté de Hobbes en pensant que « tout