Corpus Voltaire De La Fontaine

CORPUS DE 3 TEXTES A METTRE EN RELATION Ce corpus nous propose trois apologues, écrits à différentes époques. Que se soit « Le Prud’homme qui sauva son compère » écrit au XIIIème siècle, la fable « L’Huître et les Plaideurs » de Jean de la Fontaine écrit au XVIIème siècle ou Zadig de Voltaire écrit au XVIIIème, tous ont pour but de faire passer un message tout en distrayant le lecteur. Pour cela, ils entrent dans l’objet d’étude sur l’argumentation. Ces trois textes abordent un thème

attribuant ses critiques à un tiers ou en les dissimulant dans des propos codés ou ironiques comme Voltaire. Le grand mérite de cette forme d’argumentation est d’aiguiser la curiosité du lecteur, dont la complicité est requise pour deviner les intentions de l’auteur. « Les meilleurs livres sont ceux qui font faire la moitié du chemin au lecteur » ou « Le moyen d’ennuyer est de vouloir tout dire » a prévenu Voltaire. [pic] 4.2.1 L’apologue ou la fable L’apologue (du grec apologos, « récit ») est

Nous avons là un corpus de 4 textes, tous relatant une idée de souveraineté. Le premier texte, de Jean de La Fontaine est intitulé « La cour du Lion », extrait du recueil Fables. Ce poète français de la période classique fût retenu dans l’histoire littéraire grâce à ce recueil ayant essentiellement pour personnages principaux des animaux. Notre deuxième texte de Voltaire est extrait du recueil  Candide ou l’Optimisme (1759), c’est le chapitre 18. Après des études de rhétorique et de philosophie chez

CORTIADE Nicolas 1°S2 Candide de Voltaire Dissertation Les personnages présentés dans les textes du corpus sont des victimes; ils subissent en effet une force extérieure qui leur fait du mal. Ici, le sujet est une question qui aborde le thème du sacrifice humain. L'objectif de ce sujet est de faire réfléchir le lecteur sur les explications et les conséquences de ce sacrifice. Quelles sont les causes de la victimisation ? Les personnages de fiction traités selon des genres littéraires

pédant et le maître d'un jardin", Jean de LA FONTAINE, Fables, V, | | |livre IX. | | |"L'enfant et le maître d'école", Jean de LA FONTAINE, Fables, XIX, Livre I. | | |"De l'horrible danger de la lecture", VOLTAIRE, 1765. | |Analyse

Sujets de l’épreuve anticipée de Français (EAF) : objets d’étude et textes du corpus. (Zone d’Europe de l’Est 2004-2010) Les sujets sont disponibles en version papier au CDI. Demander à Mme Gendras. Certains se trouvent sur le site Magister : http://www.site-magister.com/ Les textes donnés à commenter son notés [C] ►2004 : ES/S : Le théâtre : Texte et représentation. Texte A : Molière, L’Avare, Acte II, scène 5, 1668. Texte B : Samuel Beckett, En attendant Godot, Acte I, 1953. Texte

Le corpus que nous allons étudier est composé de trois apologues qui abordent tous le thème de la querelle judiciaire. Les deux premiers textes sont des fables : la première est écrite par un auteur anonyme, elle est intitulée « Le Prud’homme qui sauva son compère » et fut publiée au XIII° s ; la seconde, « L’Huître et les plaideurs », fut publiée par La Fontaine dans son recueil Fables en 1678. Le dernier texte est un extrait du chapitre 6 du conte philosophique Zadig, publié par Voltaire en

quels moyens les écrivains disposent-ils pour dénoncer ce qui les scandalise ? Vous répondrez à cette question , en vous appuyant sur les textes du corpus , ceux étudiés en classe et votre culture personnelle. Ce corpus est composé de quatre textes du XVII e siècle et du XX e siècle, qui appartiennent à des genres variés : « Les Médecins » de La Fontaine est une fable en vers, le texte de Cyrano de Bergerac est une lettre « Contre les médecins », tandis que les deux derniers documents sont des extraits

Plusieurs définitions peuvent définir l’apologue. Le dictionnaire de notre époque parlera d’une simple « fable moralisatrice » mais Voltaire, au XVII, a lui une autre vision de ce genre de récit pour justifier son œuvre Candide ou l’Optimisme, qu’il a peur de publier. Il parlera de « chose indigne d’être lu par les esprits solides ». Tout ceci pour montrer que nous pouvons avoir diverses façons de penser, voir même de lire. On peut donc se poser la question de savoir si l’apologue est simplement

QUESTION SUR LE CORPUS ( /4) Le corpus que nous allons étudier est composé de quatre textes. Le premier, « Le philosophe scythe », est tiré du recueil Fables, écrit par La Fontaine en 1694. Lesecond est un extrait de Candide, le chapitre trente, écrit par Voltaire en 1759. Le troisième date de 1779, il est tiré de Discours sur le bonheur de Madame du Châtelet. Le quatrième texte est extraitd'Antigone, tragédie écrite par Jean Anouilh en 1946. Malgré la diversité des registres et des époques, nous