Cotte de mailles

cardinal (veut manipuler) Scène 4: M Soderini raconte sa vision nocturne à son fils. Scène 5: Pierre qui croit avoir tué Julien revient chez son père et Lorenzo le critique. Scène 6: Préparation: Le duc réclame un portrait (vol de la cotte de maille) ACTE III: Complots et drame. Scène 1: L fait semblant de se battre (pour éviter étonnement le jour du meurtre) Scène 2: Philippe décide préparer ses dils à la conjuration. Scène 3: Révélation: officiers arrêtent Thomas et Pierre,

IV, scène 9. La pièce se passe à Florence, au XVl` siècle. Lorenzo de Médicis a décidé d’assassiner son cousin Alexandre de Médicis, duc de Florence, qui gouverne en tyran. Le moindre détail de ce meurtre a été prémédité : Lorenzo a volé la cotte de mailles d’Alexandre, a arrangé un faux rendez-vous galant avec sa tante Catherine Ginori pour attirer Alexandre dans sa propre maison où attend en embuscade Scoronconcolo, un ami dévoué à Lorenzo. Lorenzo erre dans les rues, attendant l’heure du rendez-vous

arrive-t-il à nous faire percevoir cette atmosphère ? I. Le discours d’un condamné à mort. - Impression de Lorenzo de subir un double arrachement à Venise : il a débarrassé Florence de son tyran, et a abandonné sa mère, malade. Après la cotte de mailles, la lettre apparaît comme un objet théâtral funeste qui le pousse à rechercher la mort. Aussitôt après qu’il ait pris la parole pour annoncer à Philippe le décès de sa mère, il enchaîne sur sa proposition suicidaire : « venez donc faire un tour

l'épreuve afin de lui faire gagner une épée. Notre futur chevalier devait se rendre dans la forêt de Brocéliande pour y chercher une plante médicinale. Dévoué, il mit son gambison afin d'amortir les coups en cas de chute, une tunique à la place de la cotte de mailles, son heaume, des grenouillères et grèves qui lui protègeraient les jambes. Il chevaucha alors Flocon et après trois chutes se stabilisa sur son canasson, puis emprunta un sentier qui le mènerait dans les bois. Arrivé dans une clairière aussi

l'armure atteignait 20 à 25 kg, il y a une quinzaine de pièces principales et une centaine au total. Le cheval était lui aussi lourdement équipé. À quoi ressemble l'équipement parfait du chevalier ? Sur un gilet de lin, il revêt un haubert : une cotte de maille composée de 30 000 anneaux de fer. Pour protéger sa tête il met un capuchon et il se coiffe ensuite d'un casque de fer : le heaume. Pour ses bras et ses jambes, le chevalier met des gantelets en fer et des chausses métalliques. L'armure composée

chevalier : l'épée, le haubert, la lance. FEAL, FEAUX : Fidèle à la foi jurée : les conseillers du roi (ses barons) juraient loyauté et fidélité au roi. LIGNAGE : Ensemble des personnes appartiennent à la même famille (lignée) qui MADREE : rusée. MAILLE : petite monnaie de cuivre (un demi denier). PALEFROI : Cheval de parade et de cérémonie( par opposition au destrier, cheval de combat) PENNON : petit drapeau triangulaire que le chevalier fixe en haut de sa lance ; dans le code courtois, le chevalier

vair ici veut opposer la couleur azur a l’argent. Médit = Encourtinées = Garnis de courtines, de tapisseries et de rideaux Serfs = personne attaché à une terre et dépendait d’un seigneur, au Moyen-Age. Haubert = Sorte de cuirasse ancienne ou de cotte de mailles. Bacheliers = Jeune homme n’ayant pas reçu du fief, pas encore chevalier mais qui après a l’être. Cellier = lieu situé au rez-de-chaussée d’une maison ou attenant à une maison, dans lequel on range le vin et d’autres provisions. 4. Résumé :

scène. I) Fonction dramatique et idéologique: 1) Fonction de Tebaldeo dans l'action: * Favorise meurtre du Duc à son insu => lui demandant de poser col découvert à l'antique (II, 6) = L profite de ce moment pour voler la cotte de maille Peut-être T surprend L car refuse de continuer à peindre quand L sort (gêné parce que complice malgré lui ?) ==> Zeffirelli suggère cela : T suit L du regard quand il sort. 2) Fonction de Tebaldeo par rapport à Lorenzo : double positif

portes ouvertes ! ô hommes sans bras ! Non ! non ! je n'emporterai pas la lumière. J'irai droit au coeur ; il se verra tuer... Sang du Christ ! on se mettra demain aux fenêtres. Pourvu qu'il n'ait pas imaginé quelque cuirasse nouvelle, quelque cotte de mailles ! Maudite invention ! Lutter avec Dieu et le diable, ce n'est rien ; mais lutter avec des bouts de ferraille croisés les uns sur les autres par la main sale d'un armurier ! Je passerai le second pour entrer ; il posera son épée, là, ou là

décorations, leurs armes de parade, une partie de leurs vêtements et la part de butin qu'ils n'ont pas encore échangée contre de l'argent sont ainsi en sécurité. L'équipement qu'il reste à porter à chaque soldat pèse environ 40 kg. Il comprend la cotte de mailles ou la cuirasse, le casque, le grand bouclier (scutum) protégé par une housse en cuir, le pilum (sorte de lance), parfois un ou deux pieux et un paquetage (sarcina) accroché au bout d'une longue fourche (furca). Lorsqu'il ne s'enveloppe pas