Courtisan

Le cerf dupe le lion (v. 39-51). Dénouement sous forme de coup de théâtre. II. Un récit à visée morale A. Les ridicules de la fable 1. La critique des courtisans Critique de l’hypocrisie de la cour : analyse de la rime antithétique « être »/ « paraître » (v. 21-20), relevé du champ lexical de la comédie (v. 1-23), images des courtisans en pantins (v. 21-23). 2. La critique du monarque Dénonciation de la vanité royale : « nous » de majesté ; tutoiement méprisant à l’égard du cerf ; usage

s’agit de la remarque 74. Dans ce texte La Bruyère fait la satire des mœurs de la Cour. Le texte décrit successivement le comportement de différents groupes d’individus et progresse de façon pyramidale, de la base vers le sommet, du peuple des courtisans vers le Roi. Le texte est surtout original par le point de vue adopté par la Bruyère. Il s’agit de celui d’un voyageur étranger qui

à fuir. La Bruyère, dans Les Caractères, dresse des portraits variés de ses contemporains, ainsi que du monde de la cour dans lesquels ils évoluent. En effet, ce monde est codifié et la vie de la cour obéit à de nombreux rituels auxquels les courtisans se plient volontiers en espérant gagner les faveurs royales. [Sujet à recopier] Dans le chapitre “De la Cour”, la remarque 99 précise : “Dans cent ans le monde subsistera encore en son entier : ce sera le même théâtre et les mêmes décorations

construire multiples sentiments et pensées qui ont éventuellement inspiré ces histoires. En 1844, Alexandre Dumas Fils rejoint son père à Saint-Germain-en-Laye pour qu’ils vivent ensemble. C’est à cet endroit où il rencontre la courtisane, Marie Duplessis. La jeune courtisane qui a été une grande inspiration de son histoire: La dame aux Camélias. Plus tard, il a adapté son roman en pièce de théâtre et l’a nommé «Camille», en anglais. Son grand succès comme auteur dramatique a été le début de sa nouvelle

Castiglione nourrit un idéal d'équilibre et d'harmonie qui se trouve à la base de toutes ses activités de courtisan et d'une oeuvre qui est marquée par l'imitation des classiques. Un grand texte important : Il libro del Cortegiano (le livre du courtisan) en 4 livres, commencé vers 1513 et publié à Venise en 1528. Ce traité en forme de dialogue propose une discussion sur l'idéal du parfait courtisan, modèle de la société. La conversation se déroule en 4 jours en 1506, à la cours d'Urbino, autour de la

intelligent Mauvais personnage, coupableTout flatteur vit aux dpens de celui qui lcouteRendre les gens moins sensibles la flatterie, arrter de se faire avoir par des beaux discours (intemporel, encore valable aujourdhui). La Fontaine fait rfrence aux courtisans et toutes leurs flatteries. La Cigale et la Fourmi La CigaleLa FourmiLa moraleLa vise didactiqueInsouciante elle na pas pens au lendemain. Oisive elle ne fait que ce qui lui plat sans rellement travailler Artiste elle ne pense qu chanter. Gnreuse

La cour de France était l'ensemble des personnes (appelées courtisans) qui vivaient dans l'entourage direct du roi, ou, sous le Premier et le Second Empire, de l'Empereur. Elle se composait au Moyen Age de grands seigneurs, mais également d'officiers royaux et de ministériaux chargés de l'administration royale, ainsi que de conseillers. Au fur et à mesure de la disparition des grands féodaux, la noblesse se mua en une réunion de courtisans qui cherchaient la faveur royale et les pensions. La cour

cartes sans risquer jamais de perdre ? Voici un vieux roi qui joue avec des courtisans ; quand il perd, il se met en colère, et les courtisans le savent bien; depuis que les courtisans ont bien appris à jouer, le roi ne perd jamais. Aussi voyez comme il repousse les cartes. Il se lève, il monte à cheval ; il part pour la chasse ; mais c’est une chasse de roi, le gibier lui vient dans les jambes; les chevreuils aussi sont courtisans.    J’ai connu plus d’un roi. C’étaient de petits rois, d’un petit royaume

apparue ». Les autres animaux y croient aussi « On se mit à crier : « Miracle ! Apothéose ! » ». Le fait que les courtisans se rendent serviles on le voit par le verbe « accourir » (vers2) qui insiste sur la servilité ridicule. Le symbolisme même des animaux « accoutumé de lire » montre une certaine habitude sachant que les animaux ne savent pas lire. II. Critique de la société. 1. Courtisans. Le fait que les animaux sont Flagorneurs au vers 2 «Aussitôt » complément circonstanciel de temps. La servilité

flagrante et ce procès tragique n’est plus qu’une parodie de justice. C’est alors à une satire virulente de la Cour que nous assistons. La structure de la fable, fondée sur une gradation décroissante, et l’importance donnée à la parole hypocrite des courtisans, donne toute sa force à cette satire. La structure de la fable témoigne de la volonté satirique de La Fontaine. La fable présente clairement tous les aspects d’un procès : réunissant un tribunal, le « conseil », elle met en scène des