Courtisanes Delvaux

8) qui est régie par des rapports de soumission, de mérpis, voire de haine. = endroit dangereux où règnent superficialité et fausseté (différent authenticité) La cour = monde uniforme, aucun courtisan ne fait exception. Cf pronom indéfini « on » (l.5,6,7) II) -> L.7-11 = longue énumération , les courtisans cherchent l’appui des femmes puissantes. Parallélisme de construction (l.12 ;14 celle/celle) Des clans se constituent = systèmes orbitaux, les puissantes ont un pouvoir d’attraction

centrée sur la question de la croyance) D’ailleurs les courtisans semblent tout aussi crédules puisqu’ils crient « miracle ! apothéose » sur la simple foi de ce qu’ils ont entendu. A moins qu’il s’agisse d’une comédie ? En tout cas… et ce sera ma deuxième partie, II La fontaine émet une critique de la cour ! a) les courtisans forment une masse sans qualité, aux valeurs corrompues Dans sa définition de la cour, il décrit les courtisans comme des caméléons et des singes, pour représenter leur

à son apogée : « Quittez-moi et ne m’en parlez plus ! Ou je casse cette chaise sur votre tête. » « Votre palais est plus petit qu’une cabane et votre public est moins qu’une personne. » (p.30) Le roi finit par renoncer « tout en enjoignant à ses courtisans de ne plus se rendre à ses assemblées de musique parce qu’il était une espèce de récalcitrant et qu’il avait eu partie liée avec ces Messieurs de Port Royal, avant qu’il les eût dispersés. » (p.32)

exagération) « Ce n’est pas tout ; au bout de ce qu’on appelle la mer, est une grande foire que tiennent les officiers de l’empereur. Des vaisseaux partent de la grande mer pour arriver à la foire.( mise en avant des nouveaux moyens de déplacement) Les courtisans se déguisent en marchands, en ouvriers de toute espèce : l’un tient un café, l’autre un cabaret ; l’un fait le métier de filou, l’autre d’archer qui court après lui. L’empereur, l’impératrice et toutes les dames de la cour viennent marchander des

LA DAME AUX CAMELIAS La Dame aux Camélias est un roman d’Alexandre Dumas fils, publié en 1852. Ce roman est inspiré de l’existence authentique de Marie Duplessis, une belle courtisane adorée du Tout-Paris et de l’auteur lui-même. Le roman débute par la vente aux enchères des meubles d’une femme décédée, Marguerite Gautier, à laquelle le narrateur participe en achetant un livre qui est l’Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut. Un homme, Armand Duval, lui réclame ensuite ce livre

en fonction de ses origines sociales. Il doit "réconcilier l'être et le paraître" ; enfin L'honnête homme doit être honorable Nicolas Furet écrit " L'honnête homme ou l'art de plaire à la cour" ( 1630), véritable manuel qui s'adresse à tous les courtisans soucieux de s'approcher au pus près de cet idéal. C’est alors qu’il doit séduire, être agréable, en montrant qu’il cultive l’art de la conversation – non pas qu’il cherche à se mettre en valeur à tout prix, il laisse plutôt la parole à son interlocuteur

Les courtisans et le roi : représentation du pouvoir. On oppose la force (Le Lion) et la faiblesse (l'Âne) à la ruse (le Renard). Le Lion n'est critiqué à aucun moment, cependant tous les verbes d'action montrent la maniére dont il mange, représentant la brutalité : « dévorer » (vers 26), « manger » (vers 28, plus correct). Un bon roi est capable de se sacrifier pour son peuple dont le jugement est sûr et qui est souhaité par ses courtisans Renard = Courtisans, présentés comme futés ainsi que

Auteur : Appartient à la noblesse. C'est louis XIII qui a fait de son père un duc. Il est né en 1695 et fait son entrée à la cour en 1691, Il observe tout ce qu'il se passe. La cour s'installe à Versailles le 6 mai 1682 par crainte de la fronde. Les courtisans sont fiers d'être à Versailles mais perdent leur liberté. Œuvre : Les mémoire sont une habitude chez les nobles. Saint-Simon voit que quelque chose cloche dans la monarchie. La rédaction de ses mémoires vont l'occuper pendant 10 ans (1739-1749)

renvoie. A travers ce miroir, le pèlerin propose au roi de voir si les courtisans veulent montrer leur vrai visage : « ce miroir […], représente d'abord les objets au naturel; mais par le secours de quelques mots chaldéens, l'homme qui s'y regarde, s'y voit tel qu'il aurait fantaisie d'être » (lignes 117 à 120). Aucun courtisan ne s’est dévoué : Le roi peut donc conclure, grâce à l’enseignement du pèlerin, que ses courtisans sont des hypocrites. Les caractéristiques d’Aventure du pèlerin sont donc

interrompue par des prises de parole plus ou moins longues, du style direct ou indirect. * Discours du lion (v.33-38) * Discours du cerf (v.39 -49) Comportant le discours enchâssé de la lion (v.44-49). * Dénonciation calomnieuse du courtisan (v.28-29) * Commentaire de la foule (v.50) 4. Mélange des animaux et des humains -Peu de références animales (lion qui rugit et vit dans un « antre », n’a plus de griffes mais des « ongles » ; un cerf qui vit dans les « bois », des « loups