Déviants

laquelle ce sont déviantes les individus qui s´écartent beaucoup de la “moyenne”. Bennet donne à cette conception le mérit de ne pas introduire des jugements de valeur (comme le font d´autres conceptions) toutefois il l´écarte pour être trop simpliste et ne pas differencier entre les differentes types d´éloignement de la moyenne. Ainsi, avec cette definition les individus qui ont transgressé des normes et ceux qui non sont melangés: les individus roux et meurtriers seront également déviantes, puisqu´ils

Certains sociologues se sont intresss aux comportements dviants. Mais seul deux dentre eux se dtache des autres. En effet ils ont propos plusieurs processus sociaux qui pourraient expliquer ces comportements. Selon Becket Etre pris et publiquement dsign comme dviant constitue probablement lune des phases les plus cruciales du processus de formation dun mode de comportement dviant stable. Cette citation provient de son ouvrage Outsiders publi en 1985. Quant Durkheim il explique ce processus par

Les comportements « déviants » des adolescentes des quartiers populaires : être « crapuleuse », pourquoi et comment ? Les recherches sur les conduites violentes des filles Stéphane Rubi Résumé : Pour mener son étude à terme l'auteure, Stéphanie Rubi, c'est d'abord intéressée aux études anglo-saxonne déjà faites. Dans ces premières enquêtes sur les violences et la délinquance perpétuée par les filles, la participation de celles-ci dans les délits ou dans certains phénomènes violents est

de ce qu'il faut métamorphoser. Pour que le système et l'humanité se métamorphose, une évolution idéologique est nécessaire. Un changement non pas à l'extérieur mais à l'intérieur de nos raisonnement. Pas forcément un concept marginal,modeste, déviant ou nouveau. Pour sauver l'humanité, il faudrait d'abord un peut en avoir sois-même. L'humanité est en crise, peut-être est-ce celle de trop. Dans ce monde en constant mouvement, la recherche fait de nombreuses découvertes et innove dans beaucoup

Emeric Durey FICHE DE LECTURE BECKER (Howard), OUTSIDERS, Paris, édition A. M Metailé, 1985. (Première édition 1963). INTRODUCTION : Le thème étudié dans OUTSIDERS est la déviance.  Sont qualifiés de déviants, au sens de la sociologie américaine, les comportements qui transgressent des normes acceptées par tel groupe ou telle institution. Cette recherche de H. BECKER constitue une étape importante du développement récent de la sociologie de la déviance, puisqu’elle

texte outsiders qui désigne le domaine de la vie sociale a un sens plus large que celui de délinquance dans la sociologie américaine. Les personnes qualifiées de déviantes sont celles qui transgressent les normes acceptées par tel groupe social ou telle institution. L’important pour Becker c’est de se demander ce que l’on qualifie de déviant Becker donne deux sens au terme outsider. Tout d’abord outsider signifie étranger au groupe : Les groupes sociaux instituent des normes sociales, et s’efforcent

Yzerbyt & Leyens, 1988), c’est-à-dire que les individus sont plus sévères envers un déviant lorsqu’il est du même groupe car ils ressentent plus d’émotions morales que lorsque le déviant appartient à un exogroupe. Notre recherche a permis d’étudier le rôle de la stéréotypicité du comportement déviant dans les relations intergroupes. Notre hypothèse porte sur l’effet de la stéréotypicité du comportement déviant et des émotions morales sur le contrôle social. Dans notre étude, les participants (N=115)

être formelles ou informelles, un grand nombre de normes est tacite, souvent les normes sont perçues comme naturelles surtout par ce qui si conforment, les normes varient selon les lieux, les époques, les groupes sociaux un comportement sera jugée déviant s’il transgresse les normes en vigueur A) pourquoi respecte t’on les normes ? Affin que les membres d’une société respectent les normes au sein d’un groupe, ce groupe il va mètre en œuvre un ensemble de dispositifs spécifiques : le contrôle sociale

commet cet transgression soit étiquetée comme déviant qui peut se faire que pdt une interaction , il n’y a pas de transgression sans personne pour la remarquer ni stigmatisation. C’est en particulier les auteurs de la 2emes écoles de Chicago Goffman et Becker qui ont introduit cet notion d’étiquetage ils ont insisté sur le fait que ce processus de stigmatisation pouvait se faire de façon formelle ou informelle , comportement avec les déviants étudiées dans les « rites d’interactions » de

aboutit à ce jugement et la situation dans laquelle il est produit. » Cette compréhension de la déviance s’oppose à plusieurs types de définition du phénomène. Tout d’abord la conception la plus simple de la déviance est surtout statistique : est déviant ce qui s’écarte de la moyenne. Mais cette définition laisse de coté la notion de transgression qui est au cœur de la sociologie de la déviance. La conception de la déviance produit d’une analogie médicale définit la déviance comme quelque chose d’essentiellement