Discours D Emmanuel Sieyès

Français. Ces deux nations se sont constituées sur des bases totalement différentes. II- Les Définitions modernes de la Nation A- La Conception Française : La Nation des Lumières C’est une conception subjective, on va la retrouver dans un auteur Emmanuel-Joseph SIEYES, il définit la nation comme « un corps d’associé vivant sous une Loi commune et représenté par une même législature. » Le terme associé est véritablement importante, l’association est fondée sur une volonté individuelle, il dit donc qu’on

concentrés le pouvoir sur la chambre des communes en retirant les prérogatives du roi et les compétences de la chambre des lords. Bien que la Grand Bretagne soit toujours une monarchie, le titulaire de la couronne n’a plus aucun pouvoir politique. Même le discours du trône qui présente la politique gouvernementale chaque année et qui est lu par la reine est l’œuvre du 1er ministre. De plus politiquement et juridiquement la chambre des lords perdu ces pouvoirs d’intervention à la fois en matière législative

parlementaire sont posées et la démocratie progresse avec l’instauration du suffrage universel en 1848. Section 1 – De 1789 À 1814 Un des inspirateurs des débuts de la Révolution française (mais sa carrière se poursuivra bien après) est Emmanuel Sieyès, dit « L’Abbé Sieyès. En janvier 1789, il publie un petit ouvrage qui aura une forte influence[8], « Qu’est-ce que le Tiers-État ?» : « Le plan de cet écrit est assez simple. Nous avons trois questions à nous faire : 1 – Qu’est-ce que le Tiers-État 

technique du contrôle de constitutionnalité (1), le régime institutionnel de la France a intégré un juge constitutionnel en 1958 (2). 1) Les expériences passées. L’abbé Emmanuel-Joseph Sieyès avait certes envisagé la création d’un «jury de constitution» de cent huit parlementaires («jurie constitutionnaire») dès l’An III (discours du 2 thermidor) mais son initiative osée pour l’époque fut repoussée sans ambages, notamment par Antoine Thibaudeau pour qui «ce pouvoir monstrueux serait tout dans l’Etat

de France) Successeur Napoléon II (empereur des Français) Louis XVIII (roi de France) Roi d'Italie 17 mars 1805 – 11 avril 1814 (9 ans, 0 mois et 24 jours) Prédécesseur Lui-même (président de la République italienne) Successeur Victor-Emmanuel II (roi d'Italie en 1861) Protecteur de la Confédération du Rhin 12 juillet 1806 – 19 octobre 1813 (7 ans, 3 mois et 7 jours) Prédécesseur François II (empereur romain germanique) Successeur Confédération germanique Médiateur de la Confédération

d'exécution ne peuvent être confiées à l'ensemble des citoyens. Toutefois, le groupe restreint chargé de ces fonctions, le gouvernement, doit rester subordonné à l'assemblée, seule souveraine ; il ne s'agit donc pas d'un véritable pouvoir pour Rousseau. Sieyès et les juristes du XIXe siècle : la séparation des pouvoirs : Au début du XVIIIe siècle, en Grande-Bretagne, Henri Saint Jean de Bolingbroke (1678-1751) donne une valeur constitutionnelle (donc s'imposant aux différentes institutions étatiques

ensemble de discours sur le pouvoir Le mot « politique » renvoie à plusieurs sens que l'anglais distingue : polity : renvoie à l'organisation sociale, à l'ordre politique avec un ensemble d'institutions → français : LE politique politics = la vie politique, la compétition pour le pouvoir → français : LA politique policy= politique menée par une autorité, action des gouvernements → français : LES politiques publiques. Mais « politique » peut-être aussi un adjectif : discours politique,

encore dans le discours politique américain aujourd’hui. Ces puritains étaient persuadés d’être guidés par la Providence divine vers une nouvelle terre promise, les premiers colons pensaient former une nouvel Israël à qui reviendrait la charge de transformer le monde. Cette thématique n’a cessé de s’enrichir au XVIIème puis au XVIIIème siècle, elle a été constamment entretenue par de nombreux prédicateurs, selon qui le salut du monde repose les seules épaules des Américains. Ce discours développe l’idée

on a adopté la notion de représentation sous une double influence : l’Angleterre  mais aussi Rousseau qui a conduit à l’affirmation que la loi est l’expression de la volonté générale, le souverain est présenté dans l’acte de faire les lois. L’abbé Sieyès est le premier révolutionnaire français, en janvier 1799, en publiant en pamphlet pour la démocratie représentative. Il a à l’origine du concept central la nation, en disant qu’elle est souveraine. Il dit que le souverain c’est la nation et il doit

clergé réunis. Mais ce nombre ne leur servait à rien parce que le vote aux Etats Généraux devait se faire par ordre et non par tête. Certains représentants ne s’étaient pas fait élire par leur ordre, c’est le cas de deux personnages célèbres, L’abbé Sieyès et le Comte de Mirabeau. Un curé et un noble avec des idées très avancés et s’étant fait élire par le Tiers Etat. Parallèlement à ces élections, les électeurs de chaque ordre, devaient aussi rédiger des cahiers de doléances. Et à la lecture de ces