Désirer Librement

Suis je le sujet de mes désirs ? Nous éprouvons sans cesse des désirs : que le désir vise un objet déterminé − une belle voiture − ou un état diffus et général − le bonheur −, désirer semble faire corps avec l'élan même de la vie qui sans cesse nous entraîne au-delà de nous-mêmes : vers les objets extérieurs pour nous les approprier, ou vers ce que nous voudrions être mais que nous ne sommes pas. La question suis je le sujet de mes désirs autrement dit suis-je le maitre de mes désirs ; elle apparait

représentée en train d’écrire, dessiner ou participer à une activité intellectuelle (sauf dans « La lecture » et « Brosse à cheveux »). Souvent elle se pose sur l’autre « C’est elle », dans un geste de possession amoureuse « Le désir », se resserre sur l’objet qu’elle désire « L’espion » ou se crispe de plaisir « Les sens ». C’est une main possessive parfois apparente comme dans « Pouvoir » mais quelques fois délicate « Le mannequin ». Quelques fois elle soutient aussi le corps « La mort inutile »

« Puisque l'homme libre est celui à qui tout arrive comme il le désire, me dit un fou, je veux aussi que tout m'arrive comme il me plaît. - Eh ! Mon ami, la folie et la liberté ne se trouvent jamais ensemble. La liberté est une chose non seulement très belle, mais très raisonnable, et il n'y a rien de plus absurde ni de plus déraisonnable que de former des désirs téméraires et de vouloir que les choses arrivent comme nous les avons pensées. Quand j'ai le nom de Dion à écrire, il faut que je l'écrive

pourrait s'intérogé sur le lien entre liberté humaine et inconscient. Comment l'inconscient pourrait t'il remettre en cause la liberté humaine alors que l'inconscient peut être révèle à l'inconscient par la psychanalyse et nous permet ainsi d'agir librement ? Afin de répondre a cette problématique nous allons traiter dans une première partit le fait que l'inconscient remet en cause la liberté et dans une seconde parties l'inconscient n'empêche pas la liberté humaine. La liberté permet de faire

légitime de juger un désir ? - Distinction : désir / expression (éventuellement artistique) d’un désir / satisfaction d’un désir - S’il reste à l’état de désir, qui peut le juger ? (analyse des notions de « Surmoi » et de « péché d’intention ») - Référence à Epicure et à sa classification des désirs (en notant qu’il n’utilise pas le terme « anormal ») B.Existe-t-il des normes universelles selon lesquelles on pourrait juger désirs ? - La nature fournit-elle des normes ? Un désir « anormal » est-il

faire ce qui est physiquement impossible, c’est-à-dire contraire aux lois naturelles | |ou incompatible avec elles, comme être immortel ou voler sans aile par exemple. Cela ne nous empêche| |pas cependant de le vouloir parfois. Dans ce cas, notre désir se heurte à la nécessité naturelle. | |Est nécessaire ce qui ne peut pas ne pas être. | | |

l'expression de " raté de l'inconscient". Il rassemble dans cet ouvrage tout ce qui pourrait être assimilé à un lapsus ou à un acte manqué. L'expression d'acte manqué designe des actes symptomatiques et accidentels. C'est un trouble de l'acte normal par le désir inconscient, passant souvent pour une erreur.Il regroupe plusieurs réalités chez Freud : l'oubli, qui peut être dû au refoulement d'une idée, les lapsus dont on ne refait pas la même erreur à chaque fois, comme par exemple courant de lapsus le tutoiment

son mouvement que par la seule raison qu’elle le désire ». Cette liberté subjective dont elle a conscience, et cette impression de libre-arbitre ne sont que pure illusion sa pensée. Ainsi, cette pierre dotée d’une conscience n’est que l’allégorie de l’homme. Pour expliciter sa démonstration, Spinoza propose de nouveaux exemples de cette illusion, des exemples cette fois plus proches de l’homme. En premier lieu l’enfant qui réclame le lait par « désir », alors que c’est un besoin nutritif. Puis le

Construire la problématique d’un sujet L'homme ne désire-t-il que ce dont il a besoin ? Sommes-nous responsables de nos désirs ? Etre raisonnable, est-ce renoncer à ses désirs ? Désirer et vouloir sont-ils synonymes ? ( propositions de solutions, voir page suivante ) L'homme ne désire-t-il que ce dont il a besoin ? Reformulation : l'objet vers lequel tend consciemment l'être humain et qu'il se représente comme source de satisfaction est-il uniquement ce qui lui est nécessaire, ce que

lesquelles il n'a pas de prise. Pour cette raison, « la liberté consiste à vouloir que les choses arrivent [...] comme elles arrivent ». mots clés : philosophie[->0], liberté[->1], autonomie[->2], indépendance[->3], sagesse[->4], contrainte[->5], désir[->6], volonté[->7], frey[->8] Présentation Au moment où mes élèves découvrent ce texte, le cours a déjà mis en question le rapport de l'homme au monde, la confrontation du moi à une nature obéissant à des forces incontrôlables menaçant à la fois