Euthanasie Et Kant

personne et évolue avec elle. ► Pour Thomas d’Aquin « le concept de dignité lie la créature à son créateur » En philosophie, trois courants coexistent : ► Un courant idéaliste qui voit dans la dignité un absolu de caractère inaliénable et transcendental (Kant, Mounier). ► Un courant qui en fait un concept en devenir, une conquête de l’homme : Marx, Hegal ► Un troisième structuraliste (Lévi-Strauss) pour qui la dignité est un concept plus moral que scientifique. De ces trois courants, il ressort un certain

solutions juridiques indifférentes à la morale : rouler à droite, le montant précis d’une amende ou le délai d’une prescription. Sans être indifférente à la règle juridique, la morale apparaît parfois incertaine, discutée : IVG, vote des femmes, euthanasie (CEDH 29 avr. 2002 Pretty). A côté de ces connexions de fond, droit et morale ont des points de contact formels tout aussi importants, peut-être plus significatifs. Article 2 : Une proximité de forme C’est ici la structure de la règle, qu’elle

implicites Certaines solutions juridiques indiffrentes la morale rouler droite, le montant prcis dune amende ou le dlai dune prescription. Sans tre indiffrente la rgle juridique, la morale apparat parfois incertaine, discute IVG, vote des femmes, euthanasie (CEDH 29 avr. 2002 Pretty). A ct de ces connexions de fond, droit et morale ont des points de contact formels tout aussi importants, peut-tre plus significatifs. Article 2 Une proximit de forme Cest ici la structure de la rgle, quelle soit juridique

dotées de réalité en fonction du sens qu’on leur donne et comme on les classe. (p.ex. : différence entre meurtre et euthanasie ??? Il n’y a pas de différences, c’est le même acte, c’est la catégorisation qui est différente !!! Un même acte est l’un ou l’autre. Il n’y a pas de réalité objective de l’euthanasie, c’est les personnes qui classent tel ou tel acte comme étant une euthanasie ou un crime. C’est la perception intersubjective – donc le classement « statistique objectif » est faux ; c’est classement

qu'on ne peut déroger par des conventions particulières aux lois qui intérèssent l'ordre publique et les bonnes moeurs. Difficultés à dire que le droit trouve entièrement sa source dans la morale, car il existe des situations juridiques immorales ( euthanasie, les lois de Nuremberg ) Le droit changer d'un pays à un autre alors que la morale est censée être univeselle. 2) L'exclusion du droit de la morale Droit et moral totalement différents. Le droit n'aurait autre vocation qu'à s'intérésser

de Kant et particulièrement selon la définition que Kant donne du devoir. ” (Eichmann à Jérusalem, Chap. VIII). Kant, en effet, semble affirmer que le bon citoyen doit obéir à la loi civile et qu’aucune circonstance ne peut justifier qu’on puisse se soustraire à ses obligations légales. De là Eichmann en déduit qu’on devait appliquer l’impératif du Troisième Reich : “ Agissez de telle manière que le Führer, s’il avait connaissance de vos actes, les approuverait. ” Cette “ adaptation ” de Kant consiste

(états modifiés de conscience) ou d'autres fonctions psychologiques et comportementales. e - Le vieillir et le mourir • acharnement thérapeutique (à partir de quel moment faut-il considérer que le traitement devient trop lourd ?) ; • euthanasie ; aide médicale au suicide : Dans une acception plus contemporaine et plus restreinte, l'euthanasie est décrite comme une pratique (action ou omission) visant à provoquer le décès d'un individu atteint d'une maladie incurable qui lui inflige des

le terrain glissant de la philosophie du Droit, sur lequel l’étudiant juriste débutant risquerait de se perdre. Kant (1724 – 1804)  pose cette question dans le § B de son Introduction à la doctrine du Droit et n’est guère rassurant ! « Cette question pourrait embarrasser le jurisconsulte autant que le logicien est embarrassé par la question : qu’est ce que la vérité ? » (Emmanuel Kant, Métaphysique des mœurs (1797) – Première partie – Doctrine du Droit, Librairie philosophique J. Vrin, coll. Bibliothèque

un respect supplémentaire à une personne. Puis c'est Sénèque, puis les penseurs chrétiens (origines chrétiennes) qui ont donné à cette dignité un sens ontologique : cette dignité est partagée par tous et ne se perd jamais. Enfin les réflexions de Kant (très cité en bioéthique), qui avec son impératif catégorique va développer une théorie de la dignité « agis de telle sorte que tu traites l'humanité toujours en même temps comme une fin et jamais seulement comme un moyen » la personne n'a pas de

de traitements curatifs. L’enquête révèle une grande insuffisance de moyens et d’information, et des inégalités d’accès considérables. Les soins palliatifs y sont présentés comme la meilleure alternative entre un acharnement thérapeutique et une euthanasie dite active. 76 CULTURE GÉNÉRALE W0816-F1/2 Exercice 3 « Une insuffisance criante des soins palliatifs », Le Monde, 14 décembre 2012 Question Faites une synthèse structurée de ce texte. 2. La loi Leonetti et ses évolutions Le débat de l’euthanasie